Troubles de l'hémostase, notamment épistaxis.Ne pas administrer à des patients atteints de :- tuberculose pulmonaire évolutive ou latente non traitée,- ulcère digestif en évolution non traité et non surveillé.
MISES EN GARDE :En raison d'une pénétration rapide dans la muqueuse inflammatoire et d'une absorption digestive, possibilité d'effets systémiques, en particulier chez le sujet âgé.PRECAUTIONS D'EMPLOI :- Il est nécessaire d'avertir le patient que le produit n'est pas un traitement de la crise et qu'un délai de quelques jours est nécessaire avant de pouvoir en juger les effets.- Chez les patients préalablement traités par corticothérapie générale, la diminution de celle-ci doit se faire par paliers progressifs et le sevrage nécessite une surveillance médicale attentive (à la recherche de l'apparition de signes d'insuffisance surrénale aiguë ou subaiguë) se prolongeant au-delà de l'arrêt des corticoïdes administrés par voie générale.- Toute agression (infection, traumatisme, opération chirurgicale) survenant chez les malades en cours de sevrage ou récemment sevrés exige la reprise temporaire d'une corticothérapie générale parallèle aux autres thérapeutiques nécessaires.La survenue d'une infection bronchopulmonaire concomitante bactérienne, virale ou mycosique, impose l'arrêt de la corticothérapie locale et l'instauration d'un traitement adéquat.- S'assurer que les fosses nasales sont perméables. Assécher le nez par mouchage avant l'application. En cas d'obstruction marquée par oedème, procéder à une courte cure de corticothérapie générale avant la prise de ce produit. Si l'obstruction est due à de gros polypes, procéder à leur ablation.- L'attention des sportifs sera attirée sur la fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.- Grossesse : le passage systémique des corticoïdes est réel mais faible. Toutefois, par analogie avec les corticoïdes administrés par voie générale : chez l'animal, l'expérimentation met en évidence un effet tératogène, variable selon les espèces ; dans l'espèce humaine, les études épidémiologiques n'ont décelé aucun risque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestre, bien qu'il existe un passage transplacentaire. Lors de maladies chroniques nécessitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard de croissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néonatale a été exceptionnellement observé après corticothérapie à doses élevées. Il semble justifié d'observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologique du nouveau-né.
Il peut entraîner une freination hypophysosurrénalienne et, s'il se prolonge, des signes cliniques d'hypercorticisme. Ces symptômes disparaîtront après l'arrêt du traitement qui doit être progressif.
Troubles de l'hémostase, notamment épistaxis.Ne pas administrer à des patients atteints de :- tuberculose pulmonaire évolutive ou latente non traitée,- ulcère digestif en évolution non traité et non surveillé.
MISES EN GARDE :En raison d'une pénétration rapide dans la muqueuse inflammatoire et d'une absorption digestive, possibilité d'effets systémiques, en particulier chez le sujet âgé.PRECAUTIONS D'EMPLOI :- Il est nécessaire d'avertir le patient que le produit n'est pas un traitement de la crise et qu'un délai de quelques jours est nécessaire avant de pouvoir en juger les effets.- Chez les patients préalablement traités par corticothérapie générale, la diminution de celle-ci doit se faire par paliers progressifs et le sevrage nécessite une surveillance médicale attentive (à la recherche de l'apparition de signes d'insuffisance surrénale aiguë ou subaiguë) se prolongeant au-delà de l'arrêt des corticoïdes administrés par voie générale.- Toute agression (infection, traumatisme, opération chirurgicale) survenant chez les malades en cours de sevrage ou récemment sevrés exige la reprise temporaire d'une corticothérapie générale parallèle aux autres thérapeutiques nécessaires.La survenue d'une infection bronchopulmonaire concomitante bactérienne, virale ou mycosique, impose l'arrêt de la corticothérapie locale et l'instauration d'un traitement adéquat.- S'assurer que les fosses nasales sont perméables. Assécher le nez par mouchage avant l'application. En cas d'obstruction marquée par oedème, procéder à une courte cure de corticothérapie générale avant la prise de ce produit. Si l'obstruction est due à de gros polypes, procéder à leur ablation.- L'attention des sportifs sera attirée sur la fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.- Grossesse : le passage systémique des corticoïdes est réel mais faible. Toutefois, par analogie avec les corticoïdes administrés par voie générale : chez l'animal, l'expérimentation met en évidence un effet tératogène, variable selon les espèces ; dans l'espèce humaine, les études épidémiologiques n'ont décelé aucun risque malformatif lié à la prise de corticoïdes lors du premier trimestre, bien qu'il existe un passage transplacentaire. Lors de maladies chroniques nécessitant un traitement tout au long de la grossesse, un léger retard de croissance intra-utérin est possible. Une insuffisance surrénale néonatale a été exceptionnellement observé après corticothérapie à doses élevées. Il semble justifié d'observer une période de surveillance clinique (poids, diurèse) et biologique du nouveau-né.
Il peut entraîner une freination hypophysosurrénalienne et, s'il se prolonge, des signes cliniques d'hypercorticisme. Ces symptômes disparaîtront après l'arrêt du traitement qui doit être progressif.
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