Forme galénique / Dosage : Géluleà libération prolongée 15 mg Excipients : copolymères d'acrylate d'éthyle, de méthacrylate de méthyle et de chlorure de triméthylamonio-éthylméthacrylate, solution à 12,5 % (Eudragit RS 12,5), talc, phtalate de dibutyle, microgranules neutres (saccharose, amidon de maïs). Enveloppe de la gélule : gélatine. Calibrage : n° 3. Famille ATC : MEDICAMENTS EN CAS DE PROBLEMES FONCTIONNELS GASTRO-INTESTINAUX Classe ATC : PROPULSIFS Sous classe ATC : PROPULSIFS Conditions de prescription : LISTE I Laboratoire : TECHNI-PHARMA |
• Manifestations dyspeptiques pouvant être liées à un trouble de la motricité digestive.• Traitement symptomatique des nausées et vomissements.• Préparations à certaines explorations du tube digestif |
Pour vous connecter ou vous inscrire, cliquer ici |
• Somnolence, lassitude, vertiges, plus rarement céphalées, insomnie, diarrhées et gaz intestinaux, hypotension, sudation modérée.• Rares effets endocriniens (aménorrhée, galactorrhée) observés en traitement prolongé.• Quelques cas de tendance dépressive ont été signalés.• Symptômes extrapyramidaux pouvant survenir particulièrement chez l'enfant et l'adulte jeune : il s'agit de dystonies aiguës pouvant se manifester par des mouvements anormaux de la tête et du cou (spasmes faciaux, trismus, crises oculogyres, révulsion oculaire, protrusion de la langue, difficultés de déglutition, dysarthrie, torticolis), une hypertonie généralisée, voire un opisthotonos. Ces réactions surviennent, en général, en début de traitement, entre 1 à 3 heures après la dernière prise. Elles peuvent apparaître après une seule administration. En cas d'apparition de ces symptômes extrapyramidaux, il convient d'arrêter le métoclopramide. Ces effets sont, en général, complètement réversibles après l'arrêt du traitement, mais peuvent nécessiter un traitement symptomatique.Au cours de cures prolongées, en particulier chez le sujet âgé, des dyskinésies tardives peuvent être exceptionnellement observées.• Chez le nouveau-né, des cas de méthémoglobinémie ont été signalés pour des posologies supérieures à 0,5 mg/kg/24 heures ou à 0,1 mg/kg/prise (cf Surdosage). |
Absolues : • Hypersensibilité au métoclopramide ou à l'un de ses composants.• Lorsque la stimulation de la motricité gastro-intestinale présente un danger : en cas d'hémorragie gastro-intestinale, d'obstruction mécanique ou de perforation digestive.• Personnes ayant présenté précédemment une dyskinésie tardive aux neuroleptiques ou au métoclopramide.• Porteurs, connus ou suspectés, de phéochromocytome (sauf comme test d'épreuve), des accidents hypertensifs graves ayant été signalés chez ces patients avec des médicaments antidopaminergiques, dont certains benzamides.• Médicaments contenant de la lévodopa ainsi que les agonistes dopaminergiques (cf Interactions).Relatives : • Alcool et médicaments en contenant (cf Interactions). |
Mises en garde :Des effets indésirables neurologiques (syndrome extrapyramidal) peuvent apparaître, en particulier chez l'enfant et l'adulte jeune (cf Effets indésirables). En cas de vomissements et de rejet partiel ou total de la dose, respecter l'intervalle de prise avant de réadministrer le produit. En cas de vomissements abondants, il faut prévenir le risque de déshydratation. L'hydratation peut généralement se faire per os en utilisant des solutions « sucrées-salées » (solution de réhydratation orale). En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de déficit en sucrase-isomaltase. Précautions d'emploi :Il est recommandé de ne pas utiliser ce médicament chez les sujets épileptiques (augmentation de la fréquence et de l'intensité des crises). En cas d'insuffisance rénale ou hépatique, il est recommandé de réduire la posologie. |
Interactions médicamenteuses :Contre-indiquées :• Lévodopa ainsi qu'agonistes dopaminergiques (amantadine, apomorphine, bromocriptine, cabergoline, entacapone, lisuride, pergolide, piribédil, pramipexole, quinagolide, ropinirole) : antagonisme réciproque de la lévodopa, des agonistes dopaminergiques et des neuroleptiques. Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.Déconseillées :• Alcool : majoration par l'alcool de l'effet sédatif des neuroleptiques. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.A prendre en compte : • Antihypertenseurs : effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majoré (effet additif).• Autres dépresseurs du SNC : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), barbituriques, benzodiazépines, anxiolytiques autres que benzodiazépines, hypnotiques, antidépresseurs sédatifs, antihistaminiques H1 sédatifs, antihypertenseurs centraux, baclofène, thalidomide. Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. |
Grossesse :Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'utilisation du métoclopramide au cours de la grossesse n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. En conséquence, l'utilisation du métoclopramide ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire. Chez les nouveau-nés de mères traitées au long cours par de fortes posologies de métoclopramide, et par analogie avec d'autres neuroleptiques, un syndrome extrapyramidal potentiel ne peut être exclu. En conséquence, il semble raisonnable d'essayer de limiter les doses et les durées de prescription de produits pharmacologiquement similaires pendant la grossesse. En cas de traitement prolongé et/ou à doses élevées et/ou proche du terme, il semble justifié d'observer une période de surveillance des fonctions neurologiques du nouveau-né. Allaitement :L'allaitement est possible si la prise de ce médicament reste ponctuelle, en cas de vomissements post-césarienne, par exemple, et que le nouveau-né est à terme et en bonne santé. En cas de prématurité ou d'utilisation de doses élevées ou prolongées, l'allaitement est déconseillé. |
Aucune létalité n'a été observée après absorption massive accidentelle de métoclopramide ou dans un but de suicide. Des troubles de conscience modérés ou un syndrome extrapyramidal peuvent s'observer.Conduite à tenir : En cas de symptômes extrapyramidaux liés ou non à un surdosage, la thérapeutique est uniquement symptomatique (benzodiazépines chez l'enfant, benzodiazépines et/ou antiparkinsoniens anticholinergiques chez l'adulte). On pourra renouveler leur administration afin de prévenir la récurrence des symptômes. En cas de méthémoglobinémie, le bleu de méthylène à la dose de 1 mg/kg a été efficace en perfusion lente. |
Stimulant de la motricité intestinale (code ATC : A03FA01 ; A : voies digestives et métabolisme). Métoclopramide : neuroleptique antagoniste de la dopamine. Il prévient les vomissements par blocage des sites dopaminergiques. Il augmente l'amplitude des ondes de contractions oesophagiennes, le tonus du sphincter inférieur de l'oesophage, la vitesse de vidange gastrique. Il normalise le péristaltisme gastroduodénal et augmente le péristaltisme du grêle. |
Distribution : Le métoclopramide est largement distribué dans les tissus. Le volume de distribution est de 2,2 à 3,4 l/kg. Il se fixe peu aux protéines plasmatiques. Il passe à travers le placenta et dans le lait. Les microgranules à libération prolongée permettent par rapport à la forme galénique classique : • d'obtenir des concentrations maximales plus basses et atteintes en des temps plus tardifs ;• de maintenir, 12 heures après la prise, des concentrations plasmatiques de métoclopramide supérieures de 50 %.Métabolisme : Le métoclopramide est peu métabolisé. Excrétion : Le métoclopramide est principalement éliminé dans les urines sous forme libre ou sulfoconjuguée. La demi-vie d'élimination est de 5 à 6 heures. Elle augmente en cas d'insuffisance rénale ou hépatique. |
Prévenir les utilisateurs de machines et les conducteurs de véhicules des risques de somnolence liés à l'emploi de ce médicament. |
Durée de conservation : 3 ans. Pas de précautions particulières de conservation. |
|
Forme galénique / Dosage : Géluleà libération prolongée 15 mg
Excipients : copolymères d'acrylate d'éthyle, de méthacrylate de méthyle et de chlorure de triméthylamonio-éthylméthacrylate, solution à 12,5 % (Eudragit RS 12,5), talc, phtalate de dibutyle, microgranules neutres (saccharose, amidon de maïs). Enveloppe de la gélule : gélatine. Calibrage : n° 3.
Quantité par unité : Boîte de 30
Famille ATC : MEDICAMENTS EN CAS DE PROBLEMES FONCTIONNELS GASTRO-INTESTINAUX
Classe ATC : PROPULSIFS
Sous classe ATC : PROPULSIFS
Conditions de prescription : LISTE I
Laboratoire : TECHNI-PHARMA