À l’heure où les molécules utilisées dans le traitement de la douleur sont sous le feu des projecteurs : crise des opioïdes, remise en question de l’accès direct au paracétamol et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, il n’est pas inutile de rappeler que certaines douleurs ne répondent pas ou peu à ces traitements.
Ainsi, les douleurs neuropathiques, dont souffrent 7 % de la population générale, doivent conduire à l’emploi d’un arsenal thérapeutique différent de celui des douleurs nociceptives.
Explications du Dr Didier Bouhassira, directeur de l’unité Inserm 987 Physiopathologie et pharmacologie de la douleur, Centre d’évaluation et de traitement de la douleur, hôpital Ambroise-Paré, Boulogne-Billancourt.
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