Forme galénique / Dosage : Comprimé blanc 500/60 mg Comprimé bleu 500/25 mg Excipients : Comprimé blanc Amidon de maïs prégélatinisé, povidone, crospovidone, acide stéarique, cellulose microcristalline, croscarmellose sodique, stéarate de magnésium. Comprimé bleu Noyau Cellulose microcristalline, amidon de maïs, carboxyméthylamidon sodique, hydroxypropylcellulose, amidon de maïs prégélatinisé, croscarmellose sodique, acide stéarique, stéarate de magnésium. Pelliculage Hypromellose, propylèneglycol, OPASPRAY M-1F-4315B (hypromellose, dioxyde de titane, industrial methylated spirit 74 op, indigotine, eau purifiée). Famille ATC : PREPARATIONS POUR LE NEZ Classe ATC : DECONGESTIONNANTS NASAUX POUR USAGE SYSTEMIQUE Impossible de se connecter à la base de donnéesLaboratoire : GLAXOWELLCOME GMBH |
Traitement au cours des rhumes de l'adulte et de l'adolescent de plus de 15 ans: •des sensations de nez bouché, •de l'écoulement nasal clair, •des maux de tête et/ou fièvre. |
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Réactions d'hypersensibilité liées à l'un des composants de ce médicament. Liés à la présence de pseudoéphédrine Troubles cardiaques •Palpitations. •Tachycardie. •Infarctus du myocarde. Troubles visuels •Crise de glaucome par fermeture de l'angle. Troubles gastro-intestinaux •Sécheresse buccale. •Nausées. •Vomissements. Troubles du système nerveux •Accidents vasculaires cérébraux hémorragiques, exceptionnellement chez des patients ayant utilisé des spécialités à base de chlorhydrate de pseudoéphédrine: ces accidents vasculaires cérébraux sont apparus lors de surdosage ou de mésusage chez des patients présentant des facteurs de risques vasculaires. •Accidents vasculaires ischémiques. •Céphalées. •Convulsions. Troubles psychiatriques •Anxiété. •Agitation. •Troubles du comportement. •Hallucinations. •Insomnie. Une fièvre, un surdosage, une association médicamenteuse susceptible de diminuer le seuil épileptogène ou de favoriser un surdosage, ont souvent été retrouvés et semblent prédisposer à la survenue de tels effets ( voir rubriques Contre-indications et Mises en garde et précautions d'emploi. ). Troubles urinaires •Dysurie (en particulier en cas de troubles urétroprostatiques). •Rétention urinaire (en particulier en cas de troubles urétroprostatiques). Troubles cutanés •Sueurs. •Exanthème. •Prurit. •Urticaire. Troubles vasculaires •Hypertension (poussée hypertensive). Liés à la présence de paracétamol •Quelques rares cas de réactions d'hypersensibilité à type de choc anaphylactique, œdème de Quincke, érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportées. Leur survenue impose l'arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés. •De très exceptionnels cas de thrombopénie, leucopénie et neutropénie ont été signalés. Liés à la présence diphénhydramine Les caractéristiques pharmacologiques de la diphénhydramine sont à l'origine d'effets indésirables d'inégale intensité et liés ou non à la dose ( voir rubrique Pharmacocinétique ). Effets neurovégétatifs •sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement, •hypotension orthostatique, •effets anticholinergiques à type de sécheresse des muqueuses, constipation, troubles de l'accommodation, mydriase, palpitations, troubles urinaires (dysurie, rétention), •troubles de l'équilibre, vertiges, baisse de la mémoire ou de la concentration, plus fréquents chez le sujet âgé, •incoordination motrice, tremblements, •confusion mentale, hallucinations, •plus rarement, des effets sont à type d'excitation: agitation, nervosité, insomnie. Réactions d'hypersensibilité (rare) •érythèmes, prurit, eczéma, purpura, urticaire, •œdème, plus rarement œdème de Quincke, •choc anaphylactique. Effets hématologiques •leucopénie, neutropénie, •thrombocytopénie, •anémie hémolytique. |
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes: •Hypersensibilité à l'un des constituants du produit. •Chez l'enfant de moins de 15 ans. •En cas d'antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risque susceptibles de favoriser la survenue d'accident vasculaire cérébral, en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur. •En cas d'hypertension artérielle sévère ou mal équilibrée par le traitement. •En cas d'insuffisance coronarienne sévère. •En cas de risque de glaucome par fermeture de l'angle. •En cas de risque de rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques. •En cas d'antécédents de convulsions. •En cas d'insuffisance hépatocellulaire en raison de la présence de paracétamol. •En cas d'allaitement ( voir rubrique Fertilité/grossesse/allaitement ). •En association avec les IMAO non sélectifs en raison du risque d'hypertension paroxystique et d'hyperthermie pouvant être fatale ( voir rubrique Interactions ). •En association aux sympathomimétiques à action indirecte: vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale [phényléphrine (alias néosynéphrine), pseudoéphédrine, éphédrine] ainsi que méthylphénidate, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives ( voir rubrique Interactions. ). •En association aux sympathomimétiques de type alpha: vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale [étiléfrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine (alias néosynéphrine), synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane, tymazoline], ainsi que midodrine, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives ( voir rubrique Interactions. ). L'association de deux décongestionnants est contre-indiquée, quelle que soit la voie d'administration (orale et/ou nasale): une telle association est inutile et dangereuse et correspond à un mésusage. Ce médicament NE DOIT GENERALEMENT PAS ETRE UTILISE pendant la grossesse ( voir rubrique Fertilité/grossesse/allaitement ). |
En cas de fièvre élevée ou persistante, de survenue de signes de surinfection ou de persistance des symptômes au-delà de 4 jours, une réévaluation du traitement doit être faite. Mises en garde spéciales En raison de la présence de pseudoéphédrine •Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée de traitement de 4 jours, les contre-indications ( voir rubrique Effets indésirables ). •Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertension artérielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque, de nausées ou de tout signe neurologique (tels que l'apparition ou la majoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement. •Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète. La prise de ce médicament est déconseillée en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives lié à son activité sympathomimétique indirecte avec les médicaments suivants ( voir rubrique Interactions ): •IMAO-A sélectifs, •Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride ou pergolide) ou vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine ou méthysergide). •En association avec le linézolide. •Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, de troubles du comportement, d'agitation, d'insomnie ont été décrits, plus fréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs par voie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors de surdosages. Par conséquent, il convient notamment: •de ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que: dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux… ou en cas d'antécédents convulsifs; •de respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informer le patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs. En raison de la présence de paracétamol Pour éviter un risque de surdosage; vérifier l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments. Chez l'adulte et l'enfant de plus de 50 kg, LA DOSE TOTALE DE PARACETAMOL NE DOIT PAS EXCEDER 3 GRAMMES PAR JOUR ( voir rubrique Surdosage ). Précautions d'emploi La surveillance du traitement doit être renforcée dans les cas suivants: •chez le sujet âgé présentant: o une plus grande sensibilité à l'hypotension orthostatique, aux vertiges et à la sédation, o une constipation chronique (risque d'iléus paralytique), o une hypertrophie prostatique, •en cas d'insuffisance rénale en raison du risque d'accumulation. Du fait de la présence de diphénhydramine il est déconseillé de prendre pendant le traitement, des boissons alcoolisées ou des médicaments contenant de l'alcool ou des sédatifs (barbituriques en particulier) car ils potentialisent l'effet sédatif des antihistaminiques ( voir rubrique Interactions ). L'attention des sportifs est attirée sur le fait que la pseudoéphédrine peut induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage. |
Interactions médicamenteuses :Liées à la présence de paracétamol La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées. La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique. Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Anticoagulants oraux Risque d'augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/j) pendant au moins 4 jours. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt. Liées à la présence de pseudoéphédrine Associations contre-indiquées ( Voir rubrique 4.3 Contre-indications ) + IMAO non sélectifs Hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de la durée d'action de l'IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO. + Autres sympathomimétiques indirects (éphédrine, méthylphénidate, phényléphrine (alias néosynéphrine), pseudoéphédrine) Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives. + Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale) (étiléfrine, midodrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine, synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane, tymazoline) Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives. Associations déconseillées ( Voir rubrique 4.4 Mises en garde spéciales ) + Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide) Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives. + Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine, méthysergide) Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives. + IMAO-A sélectifs (moclobémide, toloxatone) Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives. + Linézolide Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives. Associations faisant l'objet de précautions d'emploi + Anesthésiques volatils halogénés Poussée hypertensive peropératoire. En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention. Liées à la présence de diphénhydramine + Médicaments atropiniques Il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuvent additionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement une rétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, une sécheresse de la bouche, etc… Les divers médicaments atropiniques sont représentés par les antidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine. + Médicaments sédatifs Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide. Associations déconseillées ( Voir rubrique 4.4 Mises en garde spéciales ) + Consommation d'alcool Majoration par l'alcool de l'effet sédatif de ces substances. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machine. Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool. |
La présence de pseudoéphédrine parmi les constituants conditionne la conduite à tenir pendant la grossesse et l'allaitement. Grossesse Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine. Cependant, par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictives de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse. Allaitement La pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets cardio-vasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement. |
Lié à la pseudoéphédrine Le surdosage en pseudoéphédrine peut entraîner: accès hypertensif, troubles du rythme, convulsions, délire, hallucinations, agitation, troubles du comportement, insomnie, mydriase, accident vasculaire cérébral. Lié à la diphénhydramine Le surdosage en diphénhydramine peut entraîner: convulsions (surtout chez l'enfant), troubles de la conscience, coma. Lié au paracétamol L'intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) chez qui elle peut être mortelle. Symptômes Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures. Un surdosage, à partir de 10 g de paracétamol en une seule prise chez l'adulte et 150 mg/kg de poids corporel en une seule prise chez l'enfant, provoque une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et irréversible se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu'au coma et à la mort. Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lactico-déshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l'ingestion. Conduite d'urgence •Transfert immédiat en milieu hospitalier. •Prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique initial de paracétamol. •Evacuation rapide du produit ingéré, par lavage gastrique. •Acidifier les urines en donnant du chlorure d'ammonium (pour augmenter l'élimination de la pseudoéphédrine). •Le traitement du surdosage comprend classiquement l'administration aussi précoce que possible de l'antidote N-acétylcystéine par voie I.V. ou voie orale si possible avant la dixième heure. •Traitement symptomatique. |
R01X - AUTRES MEDICAMENTS DU RHUME EN ASSOCIATION. Ce médicament associe un antalgique antipyrétique le paracétamol, un antihistaminique la diphénhydramine et un vasoconstricteur la pseudoéphédrine. |
Du paracétamol Absorption L'absorption du paracétamol par voie orale est complète et rapide. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes après ingestion. Distribution Le paracétamol se distribue rapidement dans tous les tissus. Les concentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaison aux protéines plasmatiques est faible. Métabolisme Le paracétamol est métabolisé essentiellement au niveau du foie. Les 2 voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologies supérieures aux doses thérapeutiques. Une voie mineure, catalysée par le cytochrome P 450, est la formation d'un intermédiaire réactif (le N-acétyl benzoquinone imine), qui, dans les conditions normales d'utilisation, est rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. En revanche, lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée. Elimination L'élimination est essentiellement urinaire. 90 % de la dose ingérée est éliminée par le rein en 24 heures, principalement sous forme glycuroconjuguée (60 à 80 %) et sulfoconjuguée (20 à 30 %). Moins de 5 % est éliminé sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination est d'environ 2 heures. Variations physiopathologiques •Insuffisance rénale: en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), l'élimination du paracétamol et de ses métabolites est retardée. •Sujet âgé: la capacité de conjugaison n'est pas modifiée. De la pseudoéphédrine La pseudoéphédrine administrée par voie orale a une demie-vie d'élimination d'environ 5 heures. L'excrétion est essentiellement rénale, principalement sous forme inchangée (70 à 90 %) en 24 heures. Celle-ci est diminuée en cas d'alcalinasation des urines. De la diphénhydramine Après administration orale la concentration sérique maximale de la diphénhydramine est atteinte en 1 à 2 heures. L'élimination est principalement urinaire. On retrouve 5 à 15 % de diphénhydramine sous forme inchangée et 50 à 65 % sous forme de métabolites conjugués. La demi-vie plasmatique est d'environ 6 heures. |
L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament surtout en début de traitement. Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool. |
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C. A conserver dans l'emballage extérieur, à l'abri de l'humidité. A conserver dans le conditionnement primaire d'origine, à l'abri de la lumière. Durée de conservation 3 ans |
Pas d'exigences particulières. |
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Forme galénique / Dosage : Comprimé blanc 500/60 mg Comprimé bleu 500/25 mg
Excipients : Comprimé blanc Amidon de maïs prégélatinisé, povidone, crospovidone, acide stéarique, cellulose microcristalline, croscarmellose sodique, stéarate de magnésium. Comprimé bleu Noyau Cellulose microcristalline, amidon de maïs, carboxyméthylamidon sodique, hydroxypropylcellulose, amidon de maïs prégélatinisé, croscarmellose sodique, acide stéarique, stéarate de magnésium. Pelliculage Hypromellose, propylèneglycol, OPASPRAY M-1F-4315B (hypromellose, dioxyde de titane, industrial methylated spirit 74 op, indigotine, eau purifiée).
Famille ATC : PREPARATIONS POUR LE NEZ
Classe ATC : DECONGESTIONNANTS NASAUX POUR USAGE SYSTEMIQUE
Sous classe ATC : SYMPATHICOMIMETIQUES
Laboratoire : GLAXOWELLCOME GMBH