e médicament est une association de deux antibiotiques : le sulfaméthoxazole, de la famille des sulfamides, et le triméthoprime, de la famille des diaminopyrimidines.Il est utilisé dans le traitement de diverses maladies infectieuses, notamment des infections respiratoires, ORL, digestives, urinaires ou de la prostate. Il est également utilisé dans le traitement de la pneumocystose et dans la prévention de cette infection chez les patients immunodéprimés. |
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Troubles généraux : Des réactions d'hypersensibilité ont été rapportées : hyperthermie, oedème de Quincke, choc anaphylactique et réactions anaphylactoïdes. Des cas exceptionnels de pneumopathie interstitielle ont été signalés. Les effets indésirables rapportés, par ordre de fréquence décroissante, sont les suivants : Manifestations cutanées : Éruption cutanée prurigineuse, urticaire. Ces manifestations sont généralement modérées et rapidement réversibles à l'arrêt du traitement. Comme d'autres médicaments contenant des sulfamides, l'association triméthoprime-sulfaméthoxazole a été associée à des manifestations cutanées de type érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, nécrose épidermique toxique (syndrome de Lyell) et érythème pigmenté fixe. Troubles digestifs : Nausées, vomissements, épigastralgies, diarrhées (notamment dues à la présence de glycérol dans Sulfaméthoxazole/ triméthoprime nourrisson et enfant). Colite pseudomembraneuse. Des cas de pancréatite ont été rapportés avec l'association triméthoprime-sulfaméthoxazole, dont un tiers chez des patients immunodéprimés (greffe, VIH, Sida). Troubles hépatiques : Hépatite essentiellement cholestatique, augmentation des transaminases et de la bilirubine. Manifestations hématologiques : Les cas de thrombopénie, leuconeutropénie, agranulocytose, aplasie médullaire, anémie hémolytique semblent relever préférentiellement d'un mécanisme immuno-allergique. Chez le sujet âgé de plus de 65 ans et/ou carencé en folates, ces accidents hématologiques, en particulier les cas d'anémie mégaloblastique et de cytopénies, semblent plutôt relever d'un mécanisme toxique dose et durée-dépendant. En effet, le produit peut interférer avec le métabolisme des folates. Troubles du système urinaire : Des cas d'altération de la fonction rénale, de néphropathie interstitielle, d'augmentation isolée de la créatinine sérique, et de cristallurie ont été signalés. Manifestations neurologiques : Neuropathies (y compris neuropathie périphérique et paresthésie). De rares cas de méningite aseptique ou de symptômes pseudoméningés, d'ataxie, de convulsions, de vertige, et de tremblements ont été signalés. D'exceptionnels cas d'uvéite ont été décrits. Troubles du système musculosquelettique : De rares cas d'arthralgies et de myalgies, et des cas isolés de rhabdomyolyse ont été rapportés. Troubles métaboliques : Des cas d'hyperkaliémie ont été rapportés sous l'association triméthoprime-sulfaméthoxazole : • soit aux doses habituelles en cas de trouble sous-jacent du métabolisme potassique, d'insuffisance rénale ou de prise de médicaments hyperkaliémiants. Une surveillance étroite de la kaliémie est alors justifiée ;• soit à fortes doses, telles qu'utilisées dans le traitement des pneumopathies à Pneumocystis carinii.Dans ces cas, l'augmentation de la kaliémie a été progressive et réversible à l'arrêt du traitement. Des cas d'hyponatrémie et d'acidose métabolique ont été signalés. Des cas d'hypoglycémie ont été observés chez des patients non diabétiques. Ils apparaissent habituellement après quelques jours de traitement. Manifestations chez les patients atteints d'infection par le VIH/Sida : La fréquence des effets indésirables, en particulier cutanés, hyperthermie, leucopénie, augmentation des transaminases et hyperkaliémie à dose élevée, est plus importante. Des cas de pancréatite et de rhabdomyolyse ont été rapportés chez des patients recevant par ailleurs des traitements susceptibles d'entraîner de tels effets. |
Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants : allergie aux antibiotiques de la famille des sulfamides, déficit en G6PD, maladie grave du foie, prématuré et nouveau-né, en association avec un médicament contenant du méthotrexate, allaitement. |
Mises en garde :• La gravité éventuelle des accidents doit faire pondérer le bénéfice thérapeutique attendu par le risque encouru.• Les manifestations cutanées ou hématologiques imposent l'arrêt immédiat et définitif du traitement.• Les accidents hématologiques sont plus fréquents : • chez le sujet âgé ;• chez le sujet ayant une carence préexistante en folates (sujet âgé, grossesse, alcoolisme, insuffisance hépatique chronique, dénutrition, malabsorption chronique). Ces modifications hématologiques sont réversibles après traitement par acide folinique.Chez ces patients, il est recommandé de ne pas dépasser dix jours de traitement par l'association triméthoprime-sulfaméthoxazole.• Un contrôle hématologique périodique est nécessaire en cas de : • traitement prolongé ou itératif ;• sujet de plus de 65 ans ;• sujet carencé en folates.• L'utilisation de l'association triméthoprime-sulfaméthoxazole n'est pas recommandée en cas d'anémie macrocytaire.• Des cas de pancytopénie ont été rapportés chez des patients ayant pris de façon concomitante l'association triméthoprime-sulfaméthoxazole et méthotrexate (cf Interactions).• En raison de la présence de saccharose, Sulfaméthoxazole/ triméthoprime nourrisson et enfant est contre-indiqué en cas d'intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose, ou de déficit en sucrase-isomaltase.Précautions d'emploi :• Sulfaméthoxazole/ triméthoprime Forte n'est pas adapté au traitement des enfants de moins de 12 ans.• En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), la posologie doit être réduite (cf Posologie et Mode d'administration).• Une surveillance biologique particulière doit être effectuée en cas d'insuffisance hépatique (transaminases et bilirubine), d'antécédents hématologiques (hémogramme, plaquettes, réticulocytes) et d'insuffisance rénale (clairance de la créatinine).• Une surveillance de la kaliémie est nécessaire chez certains patients à risque (insuffisants rénaux, patients infectés par le VIH, patients recevant de fortes doses de triméthoprime, sujets âgés), et ce, d'autant qu'ils reçoivent d'autres médicaments hyperkaliémiants (cf Interactions).• Pendant le traitement, assurer un apport hydrique suffisant (au moins 2 litres par jour) afin de prévenir d'éventuelles cristalluries.• En cas de diabète, tenir compte d'un apport de 2,5 g de sucre par cuillère-mesure de suspension pédiatrique.• Tenir compte de la teneur en sodium de Sulfaméthoxazole/ triméthoprime nourrisson et enfant chez les sujets suivant un régime hyposodé strict : cf Composition.Interférences biologiques (examens paracliniques) : Le triméthoprime peut interférer avec le dosage de la créatinine plasmatique quand la réaction à l'acide picrique est utilisée. Il en résulte une surestimation de l'ordre de 10 %. L'association triméthoprime-sulfaméthoxazole, et plus spécifiquement le triméthoprime, peut interférer avec le dosage du méthotrexate qui utilise la méthode compétitive de liaison protéique, lorsque la dihydrofolate-réductase bactérienne est utilisée comme protéine de liaison. Cependant, il n'y a pas d'interférence si le méthotrexate est dosé par une méthode radio-immunologique (cf Interactions). |
Interactions médicamenteuses :Contre-indiquées :• Méthotrexate : augmentation des effets et de la toxicité hématologique du méthotrexate par déplacement de sa liaison aux protéines plasmatiques et diminution de son excrétion rénale, ainsi que par l'inhibition additive de la dihydrofolate-réductase.Déconseillées :• Phénytoïne : augmentation des concentrations plasmatiques de phénytoïne jusqu'à des valeurs toxiques (inhibition de son métabolisme). Utiliser de préférence une autre classe d'anti-infectieux, sinon surveillance clinique étroite, dosage des concentrations de phénytoïne et adaptation éventuelle de sa posologie pendant le traitement par les sulfamides anti-infectieux et après son arrêt.• Hyperkaliémiants : certains médicaments ou classes thérapeutiques sont susceptibles de favoriser la survenue d'une hyperkaliémie : les sels de potassium, les diurétiques hyperkaliémiants, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion, les inhibiteurs de l'angiotensine II, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les héparines (de bas poids moléculaire ou non fractionnées), la ciclosporine et le tacrolimus, le triméthoprime. La survenue d'une hyperkaliémie peut dépendre de l'existence de facteurs de risque associés. Ce risque est majoré en cas d'association des médicaments sus-cités. En conséquence, leur coprescription est déconseillée.Nécessitant des précautions d'emploi :• Zidovudine : augmentation de la toxicité hématologique par inhibition additive de la dihydrofolate-réductase. Contrôle plus fréquent de l'hémogramme.• Chlorpropamide, tolbutamide : hypoglycémie sévère. Mécanisme invoqué : déplacement des liaisons aux protéines plasmatiques. Prévenir le malade et renforcer l'autosurveillance sanguine. Adapter éventuellement la posologie des sulfamides hypoglycémiants pendant le traitement anti-infectieux et après son arrêt.• Pyriméthamine : anémie mégaloblastique, plus particulièrement à fortes doses des deux produits (déficit en acide folique par l'association de deux 2-4 diaminopyrimidines). Contrôle régulier de l'hémogramme et association d'un traitement par l'acide folinique (injections IM régulières).• Warfarine (et, par extrapolation, autres anticoagulants oraux) : augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique. Mécanisme invoqué : déplacement de ses liaisons aux protéines plasmatiques. Surveillance du taux de prothrombine et surveillance de l'INR. Adaptation de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement anti-infectieux et 8 jours après son arrêt.A prendre en compte : • Ciclosporine : augmentation de la créatininémie avec diminution possible des concentrations plasmatiques de ciclosporine.Problèmes particuliers du déséquilibre de l'INR :De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines. |
Grossesse :Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser l'association sulfaméthoxazole/triméthoprime au cours du 1er trimestre de la grossesse. Aux 2e et 3e trimestres, l'utilisation peut être envisagée si besoin. Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène (cf Sécurité préclinique). Le recul clinique et les données publiées sur un effectif encore limité de patientes ne mettent en évidence aucune augmentation de fréquence globale des malformations ou de troubles néonataux. Deux études récentes évoquent cependant une possibilité d'atteintes spécifiques touchant le tube neural et le coeur, en cas d'exposition au cours des trois mois suivant les dernières règles. Le mécanisme d'action incriminé serait celui d'une interférence avec les folates. Ces résultats doivent être confirmés et ne justifient pas à eux seuls de conseiller une interruption de grossesse. Néanmoins, si l'association sulfaméthoxazole-triméthoprime est utilisée en début de grossesse, une supplémentation en acide folique peut être proposée pendant la durée du traitement, sans évaluation à ce jour de son efficacité dans la prévention des anomalies évoquées. En cas de déficit congénital en G6PD, la survenue d'une hémolyse néonatale est possible. Aucun ictère néonatal n'a été rapporté à ce jour avec cette association lors de l'administration à proximité de l'accouchement. Cet effet a été signalé avec certains sulfamides à demi-vie longue, ce qui n'est pas le cas du sulfaméthoxazole. Allaitement :L'association triméthoprime-sulfaméthoxazole passe dans le lait maternel. L'allaitement est contre-indiqué dans le cas où la mère ou l'enfant présente un déficit en G6PD, afin de prévenir la survenue d'hémolyses. Avec les sulfamides à demi-vie longue, des ictères nucléaires ont été rapportés chez le nouveau-né. En conséquence, l'allaitement est contre-indiqué lorsque le nouveau-né a moins d'un mois. Au-delà de cet âge, l'allaitement est déconseillé |
Symptômes : Les symptômes de surdosage ne sont pas différents des effets indésirables décrits précédemment. Dans le cas d'un surdosage chronique, une dépression médullaire se manifestant par une thrombopénie ou une leucopénie ou une autre dyscrasie sanguine due à la carence en acide folique peut survenir. Traitement : En fonction des symptômes, les mesures thérapeutiques suivantes peuvent être considérées : lavage gastrique, traitement émétique, induction de l'excrétion rénale par diurèse forcée, hémodialyse (la dialyse péritonéale n'est pas efficace), surveillance hématologique et électrolytique. Si une dyscrasie sanguine significative survient ou si un ictère apparaît, un traitement spécifique devra être institué pour ces complications. Des injections intramusculaires d'acide folinique peuvent être indiquées. |
Association de sulfamides et de triméthoprime (J : anti-infectieux). Ce médicament est une association d'un sulfamide, le sulfaméthoxazole, à une diaminopyrimidine, le triméthoprime, dans la proportion de 5/1. Le sulfaméthoxazole et le triméthoprime agissent en synergie dans les proportions incluses entre 100/1 et 10/1. Spectre d'activité antibactérienne : Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et, ces dernières des résistantes : triméthoprime - sulfaméthoxazole : S <= 2 mg/l et R > 8 mg/l. La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique. Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses : Espèces sensibles : • Aérobies à Gram + : corynébactéries, entérocoques, listeria, Staphylococcus aureus, staphylococcus à coagulase négative (5 - 40 %), streptococcus (5 - 20 %), Streptococcus pneumoniae (10 - 50 %).• Aérobies à Gram - : Citrobacter freundii (10 - 40 %), enterobacter (10 - 40 %), Escherichia coli (5 - 30 %), haemophilus (5 - 15 %), klebsiella (10 - 40 %), morganella (10 - 20 %), pasteurella, proteus (20 - 40 %), salmonella, shigella.• Anaérobies : peptostreptococcus.• Autres : Mycobacterium (sauf tuberculosis, avium intracellulare), borrelia, Isospora belli, Pneumocystis carinii, spirochètes, toxoplasma.Espèces résistantes : • Aérobies à Gram + : Mycobacterium avium intracellulare, Mycobacterium tuberculosis, pseudomonas.L'association sulfamides-triméthoprime présente un effet fortement synergique vis-à-vis de la plupart des bactéries, y compris les souches résistantes à l'un des deux produits. Ceci explique l'activité de l'association sur les nocardia et les stenotrophomonas mais aussi sur Escherichia coli ayant une résistance acquise aux sulfamides (résistance même de haut niveau). Cette synergie est maximale dans le rapport de leur CMI, c'est-à-dire 1/20 triméthoprime-sulfamides pour les entérobactéries et staphylocoques. En revanche, vis-à-vis des bactéries naturellement résistantes au triméthoprime (nocardia, stenotrophomonas, neisseria), le rapport optimal doit être de 1/1 ou 2/1 triméthoprime-sulfamides. |
Absorption : Administrés par voie orale, le sulfaméthoxazole et le triméthoprime sont rapidement absorbés à 90 %. Les concentrations plasmatiques sont atteintes en 2 à 4 heures. Distribution : Après administration orale d'une seule dose de l'association triméthoprime-sulfaméthoxazole comprimés adultes ou comprimés à dosage fort (800 mg de sulfaméthoxazole et 160 mg de triméthoprime), les concentrations plasmatiques maximales sont comprises entre 40 et 60 µg/ml pour le sulfaméthoxazole et entre 1 et 2 µg/ml pour le triméthoprime. Après administration orale d'une seule prise de 10 mg/kg de sulfaméthoxazole et de 2 mg/kg de triméthoprime, les concentrations plasmatiques maximales sont comprises entre 35 et 40 µg/ml pour le sulfaméthoxazole et entre 0,5 µg/ml et 1 µg/ml pour le triméthoprime. La demi-vie du sulfaméthoxazole est de 9 à 11 heures et celle du triméthoprime de 10 à 12 heures. Par rapport à l'adulte, la demi-vie plasmatique des deux constituants est plus courte chez l'enfant. Ce médicament diffuse rapidement dans les tissus et dans les sécrétions : le liquide céphalorachidien, l'oreille moyenne, les amygdales et la salive, les poumons et les sécrétions bronchiques, la prostate et le liquide séminal, les sécrétions vaginales, l'os. La liaison aux protéines plasmatiques est de 66 % pour le sulfaméthoxazole et de 45 % pour le triméthoprime. Le sulfaméthoxazole et le triméthoprime traversent le placenta. Situations cliniques particulières : Chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine comprise entre 15 et 30 ml/min), les demi-vies d'élimination du triméthoprime et du sulfaméthoxazole sont augmentées et nécessitent un ajustement de la dose administrée. Métabolisme : Dans le sang et l'urine, on retrouve le sulfaméthoxazole sous sa forme initiale et sous forme métabolisée (environ 85 %) ; les métabolites seraient bactériologiquement inactifs. On retrouve le triméthoprime principalement sous forme non métabolisée ainsi que métabolisée (25 % environ) ; certains métabolites seraient bactériologiquement actifs. Excrétion : L'élimination de ce médicament est essentiellement urinaire (80 % de la dose administrée en 72 heures) sous forme métabolisée et sous forme inchangée (20 % pour le sulfaméthoxazole et 50 % pour le triméthoprime). Une partie est excrétée par la bile où les concentrations sont proches des concentrations plasmatiques mais, étant donné la réabsorption intestinale, seule une faible fraction de triméthoprime (4 %) est éliminée dans les fèces. Le sulfaméthoxazole et le triméthoprime sont hémodialysables. |
Durée de conservation : • Sulfaméthoxazole/ triméthoprime Adulte et Sulfaméthoxazole/ triméthoprime Forte : 5 ans.• Sulfaméthoxazole/ triméthoprime nourrisson et enfant : 3 ans. |
Forme galénique / Dosage : Suspension buvable 200 mg/40 mg
Quantité par unité : Flacon de 100 ml
Famille ATC : ANTIBACTERIENS A USAGE SYSTEMIQUE
Classe ATC : SULFAMIDES ET TRIMETHOPRIME
Sous classe ATC : ASSOCIATIONS DE SULFAMIDES ET DE TRIMETHOPRIME, DERIVES INCLUS
Conditions de prescription : LISTE I
Laboratoire : ROCHE
Prix public (FCFA) : 2200