Forme galénique / Dosage : Collyre 17 000 UI/ 50 000 UI Excipients : citrate acide de sodium, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, eau purifiée. Conservateur : chlorure de benzalkonium. Famille ATC : MEDICAMENTS OPHTALMOLOGIQUES Classe ATC : ANTIINFECTIEUX Sous classe ATC : ANTIBIOTIQUES Conditions de prescription : LISTE I Laboratoire : CHAUVIN S.A. Prix public (FCFA) : 1450 |
Traitement antibactérien local des conjonctivites sévères, des kératites et des ulcères cornéens dus à des germes sensibles à la néomycine et à la polymyxine B.Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens. |
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• Possibilité d'irritation transitoire.• Risque de réaction d'hypersensibilité. |
Hypersensibilité à l'un des constituants. |
Mises en garde :En cas d'hypersensibilité, arrêt du traitement. Précautions d'emploi :En l'absence d'amélioration rapide ou en cas de traitement prolongé, une surveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiques avec étude de la sensibilité du germe permet de dépister une résistance au produit et d'adapter éventuellement le traitement. Collyre : En cas d'infection de l'oeil, le port des lentilles est formellement contre-indiqué pendant la durée du traitement. Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ou intraoculaire. En cas de traitement concomitant avec un collyre contenant un principe actif différent, instiller les collyres à 15 minutes d'intervalle. En raison de la présence de chlorure de benzalkonium, ce médicament peut provoquer une irritation des yeux. Éviter le contact avec les lentilles de contact souples. Retirer les lentilles de contact avant application et attendre au moins 15 minutes avant de les remettre. Le chlorure de benzalkonium peut décolorer les lentilles de contact souples. |
Les données disponibles à ce jour ne laissent pas supposer l'existence d'interactions cliniquement significatives. |
En cas d'administration oculaire, le passage systémique est non négligeable. Toutefois, par rapport à la forme collyre, le passage systémique de la forme pommade est vraisemblablement très faible.La présence de néomycine conditionne la conduite à tenir en cas de grossesse et d'allaitement.Grossesse :Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence une atteinte cochléovestibulaire après administration parentérale de la néomycine. En clinique, quelques cas d'atteinte cochléovestibulaire foetale ont été décrits avec d'autres aminosides après administration parentérale. En conséquence, l'utilisation de Cébémyxine est à éviter par prudence au cours de la grossesse. Allaitement :Cébémyxine peut être prescrit au cours de l'allaitement. |
Aucun cas de surdosage n'a été rapporté. Cependant, des applications répétées de façon prolongée peuvent entraîner un passage systémique non négligeable des principes actifs, en outre d'une exacerbation des effets indésirables locaux. |
Classe pharmacothérapeutique : • Collyre : Antibiotiques antibactériens (J : anti-infectieux ; S : organe des sens).• Pommade ophtalmique : Ophtalmologie, anti-infectieux, antibiotiques (S : organe des sens).La polymyxine B est un antibiotique de la famille des polypeptides. La néomycine est un antibiotique de la famille des aminosides. Spectre d'activité antibactérienne : Polymyxine B : Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes : S <= 2 mg/l et R > 2 mg/l. La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique. Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses. Espèces sensibles : • Aérobies à Gram - : acinetobacter, aeromonas, alcaligenes, Citrobacter freundii, Citrobacter koseri, enterobacter, Escherichia coli, klebsiella, moraxella, Pseudomonas aeruginosa, salmonella, shigella, Stenotrophomonas maltophilia (0-30 %).Espèces résistantes : • Aérobies à Gram + : cocci et bacilles.• Aérobies à Gram - : Branhamella catarrhalis, brucella, Burkholderia cepacia, Burkholderia pseudomallei, campylobacter, Chryseobacterium meningosepticum, legionella, morganella, neisseria, proteus, providencia, serratia, Vibrio cholerae El Tor.• Anaérobies : cocci et bacilles.• Autres : mycobactéries.Néomycine : La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique. Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses. Espèces sensibles : • Aérobies à Gram + : corynebacterium, Listeria monocytogenes, staphylococcus méti-S.• Aérobies à Gram - : acinetobacter, essentiellement Acinetobacter baumannii (50-75 %), Branhamella catarrhalis, campylobacter, Citrobacter freundii (20-25 %), Citrobacter koseri, Enterobacter aerogenes (?), Enterobacter cloacae (10-20 %), Escherichia coli (15-25 %), Haemophilus influenzae (25-35 %), klebsiella (10-15 %), Morganella morganii (10-20 %), Proteus mirabilis (20-50 %), Proteus vulgaris (?), Providencia rettgeri (?), salmonella (?), serratia (?), shigella (?), yersinia (?).Espèces modérément sensibles (in vitro de sensibilité intermédiaire) : • Aérobies à Gram - : pasteurella.Espèces résistantes : • Aérobies à Gram + : entérocoques, Nocardia asteroides, staphylococcus méti-R*, streptococcus.• Aérobies à Gram - : Alcaligenes denitrificans, burkholderia, Flavobacterium sp, Providencia stuartii, Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia.• Anaérobies : bactéries anaérobies strictes.• Autres : chlamydia, mycoplasmes, rickettsies.* La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.Remarque : ces spectres correspondent à ceux des formes systémiques de ces antibiotiques. Avec les présentations pharmaceutiques locales, les concentrations obtenues in situ sont très supérieures aux concentrations plasmatiques. Quelques incertitudes demeurent sur la cinétique des concentrations in situ, sur les conditions physicochimiques locales qui peuvent modifier l'activité de l'antibiotique et sur la stabilité du produit in situ. |
En usage topique, la néomycine et la polymyxine B pénètrent mal la cornée. |
Collyre : La vision peut être brouillée juste après l'instillation. Pommade ophtalmique : Un trouble visuel transitoire lié à la forme pharmaceutique de Cébémyxine pommade ophtalmique peut être ressenti après administration du produit. Dans ce cas, il est conseillé au patient de ne pas conduire ni d'utiliser de machines jusqu'au retour de la vision normale. |
Collyre : Durée de conservation avant ouverture : 15 mois. A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C. Après ouverture du flacon : 15 jours. Pommade : Durée de conservation : 3 ans. Pas de précautions particulières de conservation. |
Pas d'exigences particulières. |
Forme galénique / Dosage : Collyre 17 000 UI/ 50 000 UI
Excipients : citrate acide de sodium, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, eau purifiée. Conservateur : chlorure de benzalkonium.
Quantité par unité : Flacon de 10 ml.
Famille ATC : MEDICAMENTS OPHTALMOLOGIQUES
Classe ATC : ANTIINFECTIEUX
Sous classe ATC : ANTIBIOTIQUES
Conditions de prescription : LISTE I
Laboratoire : CHAUVIN S.A.
Prix public (FCFA) : 1450