Forme galénique / Dosage : Collyre 5 mg /17 500 UI Famille ATC : MEDICAMENTS OPHTALMOLOGIQUES Classe ATC : ANTIINFLAMMATOIRES ET ANTIINFECTIEUX EN ASSOCIATION Sous classe ATC : CORTICOIDES ET ANTIINFECTIEUX EN ASSOCIATION Conditions de prescription : LISTE I Laboratoire : LEURQUIN Mediolanum S.A Prix public (FCFA) : 1700 |
Traitement local anti-inflammatoire et antibactérien de l'oeil : • dans les suites de la chirurgie ophtalmologique ;• des infections dues à des germes sensibles à la néomycine avec composante inflammatoire.Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens. |
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• Possibilité d'irritation locale transitoire : gêne, larmoiement, brûlure, hyperhémie conjonctivale.• Risque de réaction d'hypersensibilité cutanéo-conjonctivale.• En usage prolongé : hypertension oculaire cortico-induite, opacification du cristallin, kératite superficielle.• En cas d'ulcération cornéenne ou sclérale, les corticoïdes peuvent retarder la cicatrisation et favoriser la surinfection. |
• Hypersensibilité à l'un des constituants du collyre.• Kératite herpétique épithéliale dendritique.• Infections mycosiques et tuberculeuses de l'oeil.• Antécédents personnels ou familiaux de glaucome.• Kératoconjonctivites virales au stade précoce.• Infections purulentes des paupières et de l'oeil secondaires à des germes résistant à la néomycine. |
Mises en garde :• Des instillations répétées et/ou de façon prolongée du collyre peuvent entraîner un passage systémique non négligeable des principes actifs.• Des instillations répétées et/ou de façon prolongée peuvent entraîner une hypertonie oculaire chez certains patients et/ou un retard de cicatrisation.• L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués chez les sportifs lors des contrôles antidopage.Précautions d'emploi :• Le collyre ne doit pas être employé en injection péri ou intra-oculaire.• En cas de traitement concomitant par un autre collyre, instiller les collyres à 15 minutes d'intervalle.• Le sulfate de néomycine peut parfois provoquer une sensibilisation cutanée ; dans ce cas, il faut arrêter l'administration du médicament.• En l'absence d'amélioration rapide ou en cas de traitement prolongé, une surveillance médicale régulière comportant des contrôles bactériologiques avec étude de la sensibilité du germe permet de dépister une résistance au médicament et d'adapter éventuellement le traitement.• Ce type d'association est généralement contre-indiqué après l'ablation simple d'un corps étranger cornéen superficiel.• L'usage des corticoïdes dans le traitement de l'herpès simplex stromal nécessite une surveillance attentive ; un examen à la lampe à fente est fréquemment requis.• Comme pour toutes les préparations ophtalmiques contenant un corticoïde, l'usage prolongé nécessite une surveillance ophtalmologique particulièrement attentive de la cornée, de la tension oculaire et du cristallin : on a rapporté des cas d'amincissement de la cornée et des cas de cataracte après un traitement prolongé par certains corticoïdes locaux.• Les maladies héréditaires et dégénératives oculaires ne montrent généralement pas de réponse au traitement par ce médicament.• Le port de lentilles doit être évité durant le traitement en raison du risque d'adsorption des principes actifs et du conservateur. |
Grossesse :Il est préférable, par mesure de précaution, de ne pas utiliser ce médicament collyre en flacon au cours de la grossesse. En effet, les données cliniques et animales avec cette association par cette voie d'utilisation sont insuffisantes. En clinique, des effets foetotoxiques ont été décrits lors de l'utilisation par voie systémique de certains aminosides et corticoïdes. Allaitement :L'allaitement est possible en cas de traitement de courte durée (10 jours). Il est préférable d'éviter d'allaiter en cas de traitement prolongé. |
Aucun cas de surdosage n'a été rapporté. Cependant, des instillations répétées de façon prolongée du collyre peuvent entraîner un passage systémique non négligeable des principes actifs, une hypertension oculaire cortico-induite, une opacification du cristallin, une kératite superficielle et un retard de cicatrisation.Comme pour toutes les préparations ophtalmiques contenant un corticoïde, l'usage prolongé nécessite une surveillance ophtalmologique particulièrement attentive de la cornée, de la tension oculaire et du cristallin : on a rapporté des cas d'amincissement de la cornée et des cas de cataracte après un traitement prolongé par certains corticoïdes locaux. |
Classe pharmacothérapeutique : Corticoïdes et anti-infectieux en association (code ATC : S01CA01). La dexaméthasone est un anti-inflammatoire stéroïdien. La néomycine est un antibiotique bactéricide de la famille des aminosides. Spectre d'activité antibactérienne de la néomycine : La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique. Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue pour une espèce bactérienne, la fréquence de résistance acquise en France (> 10 % ; valeurs extrêmes) est indiquée entre parenthèses : Espèces sensibles : • Aérobies à Gram + : corynebacterium, Listeria monocytogenes, staphylococcus méti-S.• Aérobies à Gram - : acinetobacter (50-75 %) essentiellement Acinetobacter baumannii, Branhamella catarrhalis, campylobacter, Citrobacter freundii (20-25 %), Citrobacter koseri, Enterobacter aerogenes (?), Enterobacter cloacae (10-20 %), Escherichia coli (15-25 %), Haemophilus influenzae (25-35 %), klebsiella (10-15 %), Morganella morganii (10-20 %), Proteus mirabilis (20-50 %), Proteus vulgaris (?), Providencia rettgeri (?), salmonella (?), serratia (?), shigella (?), yersinia (?).Espèces modérément sensibles (in vitro de sensibilité intermédiaire) : • Aérobies à Gram - : pasteurella.Espèces résistantes : • Aérobies à Gram + : entérocoques, Nocardia asteroides, staphylococcus méti-R*, streptococcus.• Aérobies à Gram - : Alcaligenes denitrificans, burkholderia, flavobacterium sp, Providencia stuartii, Pseudomonas aeruginosa, Stenotrophomonas maltophilia.• Anaérobies : bactéries anaérobies strictes.• Autres : chlamydia, mycoplasmes, rickettsies.* La fréquence de résistance à la méticilline est environ de 30 à 50 % de l'ensemble des staphylocoques et se rencontre surtout en milieu hospitalier.Remarque : ce spectre correspond à celui des formes systémiques d'antibiotique appartenant à la famille des aminosides. Avec les présentations pharmaceutiques locales, les concentrations obtenues in situ sont très supérieures aux concentrations plasmatiques. Quelques incertitudes demeurent sur la cinétique des concentrations in situ, sur les conditions physicochimiques locales qui peuvent modifier l'activité de l'antibiotique et sur la stabilité du produit in situ. |
En usage topique, la néomycine pénètre mal la cornée. |
Durée de conservation : 3 ans. Pas de précautions particulières de conservation. Après ouverture du flacon : utiliser dans les 15 jours. |
Pas d'exigences particulières. |
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Forme galénique / Dosage : Collyre 5 mg /17 500 UI
Quantité par unité : Flacon de 5 ml
Famille ATC : MEDICAMENTS OPHTALMOLOGIQUES
Classe ATC : ANTIINFLAMMATOIRES ET ANTIINFECTIEUX EN ASSOCIATION
Sous classe ATC : CORTICOIDES ET ANTIINFECTIEUX EN ASSOCIATION
Conditions de prescription : LISTE I
Laboratoire : LEURQUIN Mediolanum S.A
Prix public (FCFA) : 1700