Forme galénique / Dosage : Collyre en solution 20 mg/ml + 5 mg/ml Famille ATC : MEDICAMENTS OPHTALMOLOGIQUES Classe ATC : ANTIGLAUCOMATEUX ET MYOTIQUES Sous classe ATC : BETA-BLOQUANTS Conditions de prescription : LISTE I Prix public (FCFA) : 8850 |
Ce collyre associe deux substances : un inhibiteur de l'anhydrase carbonique (dorzolamide), qui bloque une enzyme active sur la sécrétion des liquides contenus dans l'œil ; un bêtabloquant (timolol).Cette association a la propriété de diminuer la tension intraoculaire.Il est utilisé dans le traitement des maladies dues à un excès de tension intraoculaire, et notamment du glaucome à angle ouvert. |
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Dans les études cliniques, aucun effet indésirable spécifique de Dorzolamide/timolol unidose (formulation sans conservateur) n'a été observé ; les effets indésirables ont été limités à ceux précédemment rapportés avec Dorzolamide/timolol multidose (formulation avec conservateur), le chlorhydrate de dorzolamide et/ou le maléate de timolol.Au cours des études cliniques, 1035 patients ont été traités par Dorzolamide/timolol multidose (formulation avec conservateur). Approximativement 2,4 % d'entre eux ont arrêté le traitement par Dorzolamide/timolol multidose (formulation avec conservateur) en raison d'événements indésirables oculaires ; approximativement 1,2 % des patients ont arrêté le traitement en raison d'événements indésirables locaux évocateurs d'allergie ou d'hypersensibilité (tels que inflammation de la paupière et conjonctivite).Dorzolamide/timolol unidose (formulation sans conservateur) a montré un profil de sécurité d'emploi similaire à celui de Dorzolamide/timolol multidose (formulation avec conservateur) dans une étude clinique comparative, en double-insu, à doses multiples.Les effets indésirables suivants ont été rapportés avec Dorzolamide/timolol ou l'un de ses composants, soit au cours des études cliniques soit depuis la mise sur le marché : très fréquent (> 1/10) ; fréquent (> 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (> 1/1000, < 1/100) ; rare (> 1/10000, < 1/1000).Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif : Maléate de timolol collyre : • Rare : lupus érythémateux disséminé.Troubles du système nerveux : Chlorhydrate de dorzolamide collyre : • Fréquent : céphalées*.• Rare : étourdissements*, paresthésies*.Maléate de timolol collyre : • Fréquent : céphalées*.• Peu fréquent : étourdissements*, dépression*.• Rare : insomnies*, cauchemars*, pertes de mémoire, paresthésies*, aggravation des signes et symptômes de myasthénie, diminution de la libido*, accidents vasculaires cérébraux*.Troubles oculaires : Dorzolamide/timolol : • Très fréquent : brûlures et picotements.• Fréquent : hyperhémie conjonctivale, vision trouble, érosion de la cornée, démangeaisons oculaires, larmoiement.Chlorhydrate de dorzolamide collyre : • Fréquent : inflammation palpébrale*, irritation palpébrale*.• Peu fréquent : iridocyclite*.• Rare : irritation incluant rougeur*, douleur*, lésions croûteuses palpébrales*, myopie transitoire (qui a disparu à l'arrêt du traitement), oedème cornéen*, hypotonie oculaire*, décollement de la choroïde (après traitement chirurgical)*.Maléate de timolol collyre : • Fréquent : signes et symptômes d'irritation oculaire comprenant blépharites*, kératites*, hypoesthésie et sécheresse oculaire*.• Peu fréquent : troubles visuels comprenant des modifications de la réfraction (dues parfois à l'arrêt du traitement par les myotiques)*.• Rare : ptosis, diplopie, décollement de la choroïde (après traitement chirurgical)*.Troubles de l'oreille et du conduit auditif : Maléate de timolol collyre : • Rare : sifflements d'oreille*.Troubles cardiaques et vasculaires : Maléate de timolol collyre : • Peu fréquent : bradycardie*, syncope*.• Rare : hypotension*, douleur thoracique*, palpitations*, oedème*, arythmie*, insuffisance cardiaque congestive*, bloc auriculoventriculaire*, arrêt cardiaque*, ischémie cérébrale, claudication, phénomène de Raynaud*, froideur des extrémités*.Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux : Dorzolamide/timolol : • Fréquent : sinusite.• Rare : raccourcissement de la respiration, insuffisance respiratoire, rhinite.Chlorhydrate de dorzolamide collyre : • Rare : épistaxis*.Maléate de timolol collyre : • Peu fréquent : difficultés à respirer*.• Rare : bronchospasme (surtout chez les patients ayant une maladie bronchospastique préexistante)*, toux*.Troubles gastro-intestinaux : Dorzolamide/timolol : • Très fréquent : altération du goût.Chlorhydrate de dorzolamide collyre : • Fréquent : nausées*.• Rare : irritation de la gorge, sécheresse de la bouche*.Maléate de timolol collyre : • Peu fréquent : nausées*, dyspepsie*.• Rare : diarrhée, sécheresse buccale*.Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés : Dorzolamide/timolol : • Rare : dermite de contact, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique.Chlorhydrate de dorzolamide collyre : • Rare : rash*.Maléate de timolol collyre : • Rare : alopécie*, éruptions psoriasiformes ou aggravation d'un psoriasis*.Troubles rénaux et urinaires : Dorzolamide/timolol : • Peu fréquent : lithiase urinaire.Troubles des organes de reproduction et des seins : Maléate de timolol collyre : • Rare : maladie de La Peyronie*.Troubles généraux et accidents liés au site d'administration : Dorzolamide/timolol : • Rare : signes et symptômes de réactions allergiques, incluant angio-oedème, urticaire, prurit, rash, anaphylaxie, rarement bronchospasme.Chlorhydrate de dorzolamide collyre : • Fréquent : asthénie/fatigue*.Maléate de timolol collyre : • Peu fréquent : asthénie/fatigue*.* Ces effets indésirables ont également été observés avec Dorzolamide/timolol multidose (formulation avec conservateur) depuis sa mise sur le marché.Examens biologiques : Dorzolamide/timolol multidose (formulation avec conservateur) n'a pas été associé à des troubles électrolytiques cliniquement significatifs dans les études cliniques. |
Compte tenu de l'absorption du collyre par l'œil et du passage du médicament dans le sang, ce collyre ne doit pas être utilisé dans les cas suivants : asthme et bronchite chronique grave, bloc auriculoventriculaire grave, insuffisance cardiaque grave (sauf si elle est stabilisée par un traitement spécifique), insuffisance rénale grave. |
Des précautions sont nécessaires en cas d'insuffisance hépatique, d'antécédent de calculs rénaux, d'allergie aux sulfamides (auxquels le dorzolamide est apparenté) ou aux ammoniums quaternaires (collyre en flacon : présence de benzalkonium).En cas de réaction allergique, ne poursuivez pas le traitement avant d'avoir pris l'avis de votre médecin.Chez les diabétiques, les bêtabloquants peuvent masquer certains symptômes de l'hypoglycémie (palpitations et accélération du cœur essentiellement).Les bêtabloquants aggravent les symptômes des chocs allergiques et nuisent à l'efficacité de l'adrénaline utilisée pour les traiter en urgence. Signalez à votre médecin tout antécédent de choc allergique, même ancien.Les personnes souffrant d'angine de poitrine ou d'insuffisance coronarienne ne doivent pas arrêter brutalement le traitement. Un avis médical est nécessaire.En cas d'intervention chirurgicale, prévenez l'anesthésiste que vous suivez ce traitement.Attention : conducteurCompte-tenu de la possibilité d'effets indésirables visuels, ce collyre peut, chez certaines personnes, constituer un risque pour la conduite automobile ou le maniement de machines dangereuses. Assurez-vous à l'occasion des premières utilisations que vous supportez bien ce collyre avant de reprendre la pratique d'une activité à risque.Attention : sportifSportif : ce médicament contient une substance susceptible de rendre positifs certains tests antidopage. |
ce collyre peut interagir avec d'autres collyres, notamment ceux qui contiennent de l'adrénaline : respectez un intervalle de 10 minutes entre deux instillations, sauf indication contraire de votre ophtalmologiste.Ce médicament ne doit pas être associé à des médicaments pris par voie orale (ou injectable) : à la floctafénine (IDARAC) : risque de majoration de la gravité d'un éventuel choc allergique ; au sultopride (uniquement disponible à l'hôpital) : risque de ralentissement cardiaque important.Il peut également interagir avec l'amiodarone ou avec un bêtabloquant pris par voie orale.Informez votre médecin si vous prenez des antidiabétiques, des AINS, des antidépresseurs tricycliques, des neuroleptiques, des corticoïdes, des inhibiteurs calciques, ou des médicaments contenant l'une des substances suivantes : quinidine, hydroquinidine, disopyramide, propafénone, baclofène, cimétidine, clonidine, lidocaïne injectable, méfloquine. |
Grossesse :Dorzolamide/timolol unidose ne doit pas être utilisé pendant la grossesse. Dorzolamide : Il n'y a pas de donnée clinique disponible sur l'utilisation chez la femme enceinte. Le dorzolamide a entraîné des effets tératogènes chez le lapin à des doses maternotoxiques (cf Sécurité préclinique). Timolol : Des études épidémiologiques contrôlées, avec des bêtabloquants par voie générale n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène, cependant des effets pharmacologiques tels que bradycardie ont été observés sur des foetus ou des nouveau-nés. Si Dorzolamide/timolol unidose est administré jusqu'à l'accouchement, le nouveau-né doit être surveillé attentivement durant les premiers jours de la vie. Allaitement :Il n'y a pas de données concernant l'excrétion du dorzolamide dans le lait maternel. Chez des rates en période de lactation recevant du dorzolamide, on a observé une diminution du poids chez les descendants. Le timolol est excrété dans le lait maternel chez la femme. Si le traitement avec Dorzolamide/timolol unidose est nécessaire, alors l'allaitement n'est pas recommandé. |
Il n'existe pas de données chez l'homme concernant un surdosage par ingestion accidentelle ou volontaire de Dorzolamide/timolol multidose ou Dorzolamide/timolol unidose.Symptômes : Il y a eu des cas de surdosage accidentel avec le maléate de timolol en collyre se traduisant par des effets systémiques identiques à ceux observés avec les bêtabloquants par voie générale tels que étourdissement, céphalées, essoufflement, bradycardie, bronchospasme et arrêt cardiaque. Les symptômes les plus fréquents observés avec un surdosage en dorzolamide sont un déséquilibre électrolytique, l'apparition d'une acidose et des effets possibles sur le système nerveux central. Il n'existe qu'un nombre limité de données disponibles chez l'homme concernant un surdosage par ingestion accidentelle ou volontaire du chlorhydrate de dorzolamide. Les effets suivants ont été rapportés à la suite d'une ingestion orale : somnolence ; en application locale : nausées, étourdissements, céphalées, fatigue, rêves anormaux et dysphagie. Traitement : Le traitement doit être symptomatique et adapté. Le ionogramme sanguin (en particulier le potassium) et le pH sanguin doivent être surveillés. Les études ont montré que le timolol n'est pas facilement dialysable. |
Classe pharmacothérapeutique : antiglaucomateux et myotiques, bêtabloquants, timolol, associations (code ATC : S01ED51). Mécanisme d'action : Dorzolamide/timolol unidose est une association de deux constituants : le chlorhydrate de dorzolamide et le maléate de timolol. Chacun de ces deux constituants diminue la pression intraoculaire élevée en réduisant la sécrétion d'humeur aqueuse par des mécanismes d'action différents. Le chlorhydrate de dorzolamide est un puissant inhibiteur de l'anhydrase carbonique humaine de type II. L'inhibition de l'anhydrase carbonique dans les procès ciliaires de l'oeil diminue la sécrétion d'humeur aqueuse, en ralentissant probablement la formation des ions bicarbonates, avec une diminution secondaire du transport du sodium et des liquides. Le maléate de timolol est un bêtabloquant non cardiosélectif. Le mécanisme d'action précis du maléate de timolol dans la réduction de la pression intraoculaire n'est pas clairement établi à l'heure actuelle, bien qu'une étude avec la fluorescéine et des études de tonographie indiquent que l'action principale peut être une réduction de la formation de l'humeur aqueuse. Cependant, dans quelques études, une augmentation légère de l'écoulement de l'humeur aqueuse a également été observée. L'association de ces deux agents a un effet additif sur la réduction de la pression intraoculaire par rapport à chacun des constituants administrés séparément. Après administration locale, Dorzolamide/timolol unidose diminue l'élévation de la pression intraoculaire, associée ou non à un glaucome. Une pression intraoculaire élevée est un facteur de risque majeur dans la pathogénie des altérations du nerf optique et de la perte du champ visuel due au glaucome. Dorzolamide/timolol unidose réduit la pression intraoculaire sans avoir les effets secondaires des myotiques comme la cécité nocturne, les spasmes d'accommodation et la contraction pupillaire. Effets cliniques : Des études cliniques allant jusqu'à 15 mois ont été menées pour comparer l'effet sur la réduction de la pression intraoculaire de Dorzolamide/timolol multidose, administré deux fois par jour (le matin et le soir au coucher), par rapport à celui de timolol 0,5 % et de dorzolamide 2 % seuls ou en association, chez des patients présentant un glaucome ou une hypertension oculaire et pour lesquels un traitement associé a été considéré dans les essais comme adapté. Des patients non traités et des patients insuffisamment contrôlés par le timolol en monothérapie ont été inclus. La majorité des patients étaient traités par collyre bêtabloquant en monothérapie avant d'être enrôlés dans l'étude. Dans une analyse groupée des études, l'effet de Dorzolamide/timolol multidose, administré deux fois par jour, sur la réduction de la PIO était supérieur à celui d'une monothérapie par dorzolamide 2 % administré trois fois par jour ou par timolol 0,5 % administré deux fois par jour. L'effet de Dorzolamide/timolol multidose administré deux fois par jour sur la réduction de la pression intraoculaire était similaire à celui d'un traitement concomitant de dorzolamide et de timolol administré deux fois par jour. L'effet de Dorzolamide/timolol multidose administré deux fois par jour sur la réduction de la pression intraoculaire a été démontré à différents moments de la journée et cet effet s'est maintenu pendant l'administration au long cours. Dans une étude clinique, en double-insu, en groupes parallèles, chez 261 patients ayant une pression intraoculaire élevée >= 22 mm HG dans l'un ou les deux yeux, comparant Dorzolamide/timolol unidose (formulation sans conservateur) à Dorzolamide/timolol multidose (formulation avec conservateur), Dorzolamide/timolol unidose a eu un effet sur la diminution de la pression intra-oculaire équivalent à celui de Dorzolamide/timolol multidose. Le profil de sécurité de Dorzolamide/timolol unidose a été similaire à celui de Dorzolamide/timolol multidose. Utilisation chez l'enfant : Une étude contrôlée de 3 mois a été conduite, avec comme objectif principal de documenter la tolérance du chlorhydrate de dorzolamide en solution ophtalmique à 2 % chez l'enfant de moins de 6 ans. Dans cette étude, 30 patients de 2 ans ou plus et de moins de 6 ans, dont la pression intraoculaire n'était pas contrôlée de façon suffisante par dorzolamide ou timolol en monothérapie ont reçu Dorzolamide/timolol dans une phase en ouvert. L'efficacité chez ces patients n'a pas été établie. Dans ce petit groupe de patients, l'administration biquotidienne de Dorzolamide/timolol a généralement été bien tolérée, 19 patients ont terminé le traitement et 11 l'ont arrêté pour intervention chirurgicale, modification du traitement médical, ou autres raisons. |
Chlorhydrate de dorzolamide : Contrairement aux inhibiteurs de l'anhydrase carbonique par voie orale, l'administration locale de chlorhydrate de dorzolamide permet une action directe du principe actif sur l'oeil à des doses substantiellement plus basses, et donc une exposition systémique plus faible. Dans les essais cliniques, la conséquence a été une réduction de la PIO sans perturbation de l'équilibre acido-basique ni les troubles hydroélectrolytiques caractéristiques des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique administrés par voie orale. Par voie locale, le dorzolamide passe dans la circulation générale. Pour évaluer la possibilité d'une inhibition de l'anhydrase carbonique systémique après administration locale, les concentrations du médicament et de ses métabolites ont été mesurées dans les globules rouges et le plasma, ainsi que l'inhibition de l'anhydrase carbonique dans les globules rouges. Lors d'une administration chronique, le dorzolamide s'accumule dans les globules rouges par suite d'une liaison sélective à l'AC-II alors que des concentrations extrêmement faibles du principe actif sous forme libre sont maintenues dans le plasma. Le principe actif est transformé en métabolite N-déséthyl qui inhibe l'AC-II de façon moins puissante, mais inhibe aussi une isoenzyme moins active (l'AC-I). Ce métabolite s'accumule également dans les globules rouges où il se lie surtout avec l'AC-I. Le dorzolamide se fixe modérément aux protéines plasmatiques (environ 33 %). Le dorzolamide est principalement excrété inchangé dans les urines ; son métabolite est aussi éliminé dans les urines. Après le traitement, le dorzolamide se libère des globules rouges de façon non linéaire, ce qui entraîne une diminution rapide de la concentration initiale du principe actif suivie d'une phase d'élimination plus lente avec une demi-vie d'environ quatre mois. Lorsque le dorzolamide a été administré par voie orale pour simuler une exposition systémique maximale consécutive à une administration oculaire au long cours, l'état d'équilibre a été atteint en 13 semaines. A l'état d'équilibre, il n'y avait virtuellement pas de principe actif sous forme libre ni de métabolite dans le plasma ; l'inhibition de l'AC dans les globules rouges a été inférieure à celle nécessaire à l'obtention d'un effet pharmacologique sur la fonction rénale ou la respiration. Des résultats identiques de pharmacocinétique ont été observés après administration locale prolongée de chlorhydrate de dorzolamide. Néanmoins, quelques patients âgés présentant une insuffisance rénale (clairance de la créatinine estimée à 30-60 ml/min) ont eu des concentrations en métabolite plus élevées dans les globules rouges, mais aucune différence significative sur l'inhibition de l'anhydrase carbonique et aucun effet secondaire systémique cliniquement significatif n'ont été imputés directement à ces données. Maléate de timolol : Dans une étude sur les concentrations plasmatiques du principe actif chez six patients, l'exposition systémique au timolol a été déterminée après administration locale de maléate de timolol solution ophtalmique à 0,5 % deux fois par jour. Les concentrations plasmatiques moyennes après la prise du matin étaient en moyenne de 0,46 ng/ml et de 0,35 ng/ml après la prise de l'après-midi. |
Aucune étude sur la capacité à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a été menée. Des effets indésirables possibles tels que vision trouble peuvent altérer l'aptitude de certains patients à conduire et/ou à utiliser des machines. |
Durée de conservation avant ouverture : 2 ans A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C. Ne pas congeler. A conserver dans l'emballage extérieur d'origine, à l'abri de la lumière. Après première ouverture du sachet : 15 jours. Jeter tous les récipients unidoses non utilisés après ce délai. Jeter immédiatement après la première utilisation chaque récipient unidose. |
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Forme galénique / Dosage : Collyre en solution 20 mg/ml + 5 mg/ml
Quantité par unité : Flacon de 5 ml
Famille ATC : MEDICAMENTS OPHTALMOLOGIQUES
Classe ATC : ANTIGLAUCOMATEUX ET MYOTIQUES
Sous classe ATC : BETA-BLOQUANTS
Conditions de prescription : LISTE I
Prix public (FCFA) : 8850