Forme galénique / Dosage : Comprimé 5 mg Excipients : cellulose microcristalline, docusate de sodium, lactose, stéarate de magnésium, amidon de maïs prégélatinisé, carboxyméthylamidon sodique, oxyde de fer jaune. Pelliculage : hyprolose, laque d'aluminium et d'indigotine, hypromellose, talc, dioxyde de titane. Famille ATC : Médicaments urologiques Classe ATC : MEDICAMENTS DANS L'HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE Sous classe ATC : INHIBITEURS DE L'ALPHA-5-TESTOSTERONE REDUCTASE Conditions de prescription : LISTE I Prix public (FCFA) : 23050 |
• Traitement des symptômes modérés à sévères de l'hypertrophie bénigne de la prostate (HBP).• Réduction du risque de rétention aiguë d'urine (RAU) et de chirurgie chez les patients ayant des symptômes modérés à sévères de l'HBP. |
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Ce médicament n'est pas indiqué chez la femme, ni chez l'enfant.Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants : • Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients.• Grossesse : chez les femmes enceintes ou susceptibles de l'être (cf Fertilité/Grossesse/Allaitement, exposition au finastéride et risque pour le foetus masculin). |
Généralités : Pour éviter des complications obstructives, il est important que les patients présentant un volume résiduel post-mictionnel important et/ou un débit urinaire fortement diminué soient surveillés attentivement. L'éventualité d'une opération chirurgicale devra être envisagée. Effets sur les taux de PSA (antigène prostatique spécifique) et le dépistage du cancer de la prostate : A ce jour, le traitement par ee médicament n'a pas démontré de bénéfice clinique chez les patients atteints de cancer de la prostate. Dans les études cliniques contrôlées, des dosages du PSA et des biopsies de la prostate ont été effectuées périodiquement chez des patients présentant une HBP et un taux sérique élevé de PSA. Dans ces études, Ce médicament n'a pas semblé affecter le taux de dépistage du cancer de la prostate. L'incidence globale des cancers de la prostate dans les groupes de patients traités par Ce médicament n'a pas été significativement différente de celle des groupes ayant reçu le placebo. Avant d'initier un traitement par Ce médicament, et périodiquement par la suite, il est recommandé d'effectuer un toucher rectal ainsi que des examens complémentaires de dépistage du cancer de la prostate. Le taux de PSA sérique est aussi utilisé pour dépister un cancer de la prostate. D'une manière générale, une valeur de base du PSA supérieure à 10 ng/ml (test Hybritech) incite à des examens complémentaires et à envisager une biopsie ; pour des taux de PSA compris entre 4 et 10 ng/ml, une évaluation ultérieure est conseillée. Les valeurs du taux de PSA chez les hommes atteints ou non d'un cancer de la prostate sont similaires. De ce fait, un taux de PSA dans les limites normales de référence n'exclut pas un cancer de la prostate chez un patient présentant une HBP traitée ou non par Ce médicament. Un taux de base de PSA inférieur à 4 ng/ml n'exclut pas un cancer prostatique. Ce médicament entraîne une diminution d'environ 50 % des taux sériques de PSA chez les patients atteints d'une HBP, même en présence d'un cancer de la prostate. Cette diminution du taux de PSA chez les patients atteints d'une HBP traitée par Ce médicament doit être prise en compte lors de l'évaluation des valeurs du PSA et n'exclut pas un cancer concomitant de la prostate. Cette diminution est prévisible quel que soit le taux de PSA, bien qu'elle puisse varier d'un individu à l'autre. L'analyse des taux de PSA mesurés chez plus de 3000 patients dans le cadre de l'étude PLESS (Proscar Long Term Efficacy and Safety Study), menée en double aveugle versus placebo et d'une durée de 4 ans, a confirmé que, chez les patients traités par Ce médicament depuis 6 mois ou plus, le taux de PSA doit être multiplié par deux pour pouvoir être interprété par rapport aux valeurs normales observées chez les patients non traités. Grace à cet ajustement, le dosage du PSA conserve sa sensibilité, sa spécificité et sa fiabilité comme méthode de dépistage du cancer de la prostate. Toute augmentation soutenue du taux de PSA chez les patients traités par le finastéride doit faire l'objet d'une évaluation minutieuse, en tenant compte de la possibilité d'une non-observance du traitement par Ce médicament. Ce médicament ne diminue pas significativement le pourcentage de PSA libre (rapport PSA libre/PSA total), qui demeure constant même sous traitement par Ce médicament. Aucun ajustement n'est nécessaire lorsqu'on utilise le pourcentage de PSA libre pour le dépistage du cancer de la prostate. Interactions médicamenteuses avec les tests de laboratoire : Effet sur les taux de PSA : Le taux de PSA est lié à l'âge du patient et au volume de la prostate, et le volume de la prostate est lui-même lié à l'âge du patient. Lors de l'interprétation des valeurs du taux de PSA, il faut se rappeler que ce taux diminue chez les patients traités par Ce médicament. Chez la plupart des patients, une diminution rapide du taux de PSA a été observée au cours des premiers mois de traitement, puis se stabilise ensuite autour d'une nouvelle valeur de base. La nouvelle valeur de base obtenue après le traitement équivaut à environ 50 % de la valeur initiale mesurée avant traitement. Par conséquent, chez les patients types traités par Ce médicament pendant 6 mois ou plus, le taux de PSA doit être multiplié par 2 pour pouvoir être interprété par rapport aux valeurs de référence observées chez les hommes non traités. Pour une interprétation clinique, cf supra : Effets sur les taux de PSA et sur le dépistage du cancer de la prostate. Cancer du sein chez l'homme : Des cas de cancer du sein ont été rapportés, lors des études cliniques et après la commercialisation du produit, chez des hommes traités par une dose de 5 mg de finastéride. Les médecins devront informer leurs patients qu'ils doivent les avertir rapidement en cas de survenue au niveau mammaire d'une grosseur, d'une douleur, d'une gynécomastie ou d'un écoulement au niveau du mamelon. Usage pédiatrique : Ce médicament n'est pas indiqué chez l'enfant. La sécurité d'emploi et l'efficacité chez l'enfant n'ont pas été établies. Insuffisance hépatique : Il n'y a pas d'expérience chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Étant donné que Ce médicament est métabolisé dans le foie (cf Pharmacocinétique), la prudence est nécessaire chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique car ces patients peuvent présenter une augmentation des taux plasmatiques de finastéride. Lactose : Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp, ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares). |
Interactions médicamenteuses :Aucune interaction médicamenteuse sur le plan clinique n'a été identifiée.Ce médicament est métabolisé via le cytochrome P450 3A4 mais ne semble pas avoir d'effet significatif sur le système enzymatique de métabolisation des médicaments impliquant le cytochrome P450.Même si le risque que le finastéride affecte la cinétique d'autres médicaments est faible, il est probable que les inhibiteurs et les inducteurs du cytochrome P450 3A4 affectent les concentrations plasmatiques du finastéride. Cependant, étant donné les marges de sécurité établies, toute augmentation due à l'utilisation concomitante de tels inhibiteurs risque peu d'entraîner des conséquences au niveau clinique.Parmi les médicaments étudiés chez l'homme, étaient inclus le propranolol, la digoxine, le glibenclamide, la warfarine, la théophylline et l'antipyrine, et aucune interaction cliniquement significative n'a été notée. |
Grossesse :Le finastéride n'a pas d'indication thérapeutique chez la femme. Le finastéride est contre-indiqué chez la femme enceinte ou susceptible de l'être du fait de ses effets endocriniens entraînant des anomalies des organes génitaux externes chez le foetus mâle. Il est donc indispensable, pour une femme enceinte ou susceptible de l'être, d'éviter tout contact avec des comprimés cassés de finastéride. Les comprimés de Ce médicament sont pelliculés, ce qui empêche le contact avec le principe actif lors de la manipulation normale, à condition que les comprimés ne soient ni cassés ni écrasés. De petites quantités de finastéride ont été retrouvées dans le sperme de sujets recevant 5 mg de finastéride par jour. Il n'existe pas de données permettant de conclure qu'un foetus mâle est affecté si sa mère est exposée au sperme d'un patient traité par le finastéride. Lorsque la partenaire du patient est enceinte ou susceptible de l'être, il est recommandé d'utiliser des préservatifs afin de minimiser l'exposition de la partenaire au sperme. Allaitement :Le passage du finastéride dans le lait maternel n'est pas connu. |
Des patients ont été traités par des doses uniques de finastéride allant jusqu'à 400 mg et par des doses répétées allant jusqu'à 80 mg/jour pendant trois mois, sans effet secondaire. |
Inhibiteurs de l'alpha-5-testostérone réductase (code ATC : G04CB01). Le finastéride est un inhibiteur spécifique de la 5 alpha-réductase, enzyme intracellulaire, qui métabolise la testostérone (T) en dihydrotestostérone (DHT), témoin biologique de l'activité de cette enzyme. Il a été démontré que le développement de la glande prostatique et, par conséquent, l'hypertrophie bénigne de la prostate, est influencé par la DHT résultant de la transformation de la T en DHT dans la prostate, via l'activité de la 5 alpha-réductase. Les sujets ayant un déficit congénital en 5 alpha-réductase ont un niveau très bas de DHT, une petite prostate et ne développent pas d'hypertrophie bénigne de la prostate. Le finastéride fait chuter la DHT intraprostatique et circulante. La réduction significative de la DHT circulante apparaît dans les 24 heures suivant la prise orale de finastéride. Le finastéride n'a pas d'affinité pour les récepteurs androgéniques. Une différence significative de son activité comparée au placebo a été observée au cours des études cliniques : • à 3 mois pour la diminution du volume prostatique,• à 4 mois sur le flux maximal urinaire,• à 7 mois sur les scores symptomatiques.Pour les prostates volumineuses, la réponse thérapeutique peut être plus importante. Une étude (PLESS) randomisée, en double aveugle, a comparé le finastéride au placebo chez 3040 patients ayant une prostate volumineuse et des symptômes modérés à sévères d'hypertrophie bénigne de la prostate. Les patients ont été randomisés pour recevoir soit du finastéride 5 mg/jour (1524 patients), soit du placebo (1516 patients), pendant 4 ans. Le traitement par finastéride a permis d'obtenir une réduction du nombre de patients ayant soit une rétention aiguë d'urine, soit un recours à une intervention chirurgicale sur la prostate : 100 (6,6 %) sous finastéride contre 199 (13,2 %) sous placebo. Sous finastéride et sous placebo : • le nombre de patients ayant une rétention aiguë était respectivement de 42 (2,8 %) dans le groupe finastéride et de 99 (6,6 %) dans le groupe placebo ;• le nombre de patients ayant recours à une intervention chirurgicale de la prostate était respectivement de 69 (4,6 %) dans le groupe finastéride et 152 (10,1 %) dans le groupe placebo.Ainsi, le traitement de 100 patients pendant 4 ans a permis d'éviter environ 4 épisodes de rétention aiguë d'urine et 6 recours à une intervention chirurgicale. En terme de tolérance, on observe sous finastéride, par rapport au placebo, une augmentation de 8,9 % du pourcentage des patients présentant des effets : impuissance, chute de la libido, troubles de l'éjaculation, ainsi que apparition de gynécomastie. L'étude américaine MTOPS (Medical Therapy of Prostatic Symptoms), étude multicentrique, en double aveugle, randomisée, contrôlée versus placebo, d'une durée moyenne de 5 ans a été réalisée sur 3047 hommes ayant une HBP symptomatique, recevant soit du finastéride 5 mg/jour (n = 768), soit de la doxazosine 4 ou 8 mg/jour (n = 756), soit l'association de finastéride 5 mg/jour et de doxazosine 4 ou 8 mg/jour (n = 786), soit un placebo (n = 737). Le critère principal d'évaluation de l'étude était le temps écoulé entre la randomisation et la progression clinique de l'HBP, définie par la première apparition de l'un des critères suivants : augmentation >= à 4 points par rapport à la valeur de base du score symptomatique (mesuré sur l'échelle symptomatique validée par l'« American Urologic Association »), rétention aiguë d'urine, insuffisance rénale liée à l'HBP (élévation de la créatinine), infections urinaires récidivantes ou graves, ou incontinence. Comparé au placebo, le traitement par le finastéride, la doxazosine ou l'association a entraîné une réduction significative du risque de progression clinique de l'HBP de respectivement 34 % (p = 0,0018), 39 % (p = 0,0002) et 67 % (p < 0,0001), correspondant à 128 cas (17,4 %) sous placebo, 89 (11,6 %) sous finastéride, 85 (11,2 %) sous doxazosine, et 49 (6,2 %) avec l'association. La plupart des événements (274 sur 351) qui ont contribué à la progression de l'HBP sont liés à une augmentation >= à 4 points du score symptomatique ; le risque d'augmentation du score symptomatique a diminué de 30 % (p = 0,0156), 46 % (p = 0,0001), et 64 % (p < 0,0001), respectivement dans les groupes finastéride, doxazosine, et avec l'association par rapport au placebo. L'incidence de la progression clinique de l'HBP était plus faible d'environ 5 % avec l'association qu'avec le finastéride (IC 95 % = [2,6 % ; 8,2 %] ; p < 0,001) ou la doxazosine (IC 95 % = [2,2 % ; 7,8 %] ; p < 0,001) utilisés seuls. 41 des 351 événements contribuant à la progression de l'HBP ont été des rétentions aiguës d'urine, 18 cas (2,4 %) sous placebo, 6 (0,8 %) sous finastéride, 13 (1,7 %) sous doxazosine, et 4 (0,5 %) avec l'association ; le risque de développer une rétention aiguë d'urine a été réduit respectivement de 67 % (p = 0,0114), 31 % (p = 0,2963), et 79 % (p = 0,0013) dans les groupes finastéride, doxazosine et avec l'association par rapport au placebo. Seuls les groupes finastéride et association finastéride/doxazosine ont été significativement différents du placebo. Le risque de recourir à un traitement invasif de l'HBP (critère secondaire) a été réduit de 64 % (p = 0,0004), 3 % (p = 0,8686), et 67 % (p = 0,0001) respectivement dans les groupes finastéride, doxazosine et avec l'association par rapport au placebo, ce qui correspond à 40 cas (5,4 %) sous placebo, 15 (2 %) sous finastéride, 41 (5,4 %) sous doxazosine et 14 (1,8 %) avec l'association. Seuls les groupes finastéride et association finastéride/doxazosine ont été significativement différents du placebo. Dans cette étude, le profil de sécurité et de tolérance des médicaments pris en association a généralement été comparable aux profils de chacun des médicaments pris séparément. Cependant, les effets indésirables liés aux deux classes d'organe « système nerveux » et « système urogénital » ont été observés plus fréquemment lorsque les deux médicaments étaient associés (cf Effets indésirables). |
Chez l'homme, après administration orale d'une dose de C14-finastéride, 39 % de la dose sont excrétés dans les urines sous forme de métabolites (il n'y a pratiquement pas d'excrétion de finastéride inchangé dans les urines) et 57 % de la dose totale sont excrétés dans les fèces. Deux métabolites du finastéride ont été identifiés. Ils ne possèdent qu'une petite fraction de l'activité inhibitrice du finastéride sur la 5 alpha-réductase. Par référence à l'administration intraveineuse, la biodisponibilité orale du finastéride est d'environ 80 % ; elle n'est pas modifiée par une prise alimentaire simultanée. Les concentrations plasmatiques maximales du finastéride sont atteintes approximativement 2 heures après administration orale et l'absorption est complète après 6 à 8 heures. La demi-vie d'élimination plasmatique est en moyenne de 6 heures (4 à 9 heures). La liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 93 %. La clairance plasmatique et le volume de distribution du finastéride sont, respectivement, d'environ 165 ml/min et 76 litres. Une étude avec des doses multiples a montré une lente accumulation de faibles quantités de finastéride. Après une administration quotidienne de 5 mg par jour, à l'état d'équilibre, les concentrations plasmatiques de finastéride sont de 8 à 10 ng/ml ; elles restent stables dans le temps. Le pourcentage d'élimination du finastéride est discrètement diminué chez le sujet âgé. La demi-vie, d'environ 6 heures entre 18 et 60 ans, s'allonge jusqu'à 8 heures après 70 ans. Ceci n'a pas de conséquence clinique ; de ce fait, une réduction de la posologie n'est pas justifiée. Chez les patients ayant une insuffisance rénale chronique avec une clairance de la créatinine comprise entre 9 et 55 ml/min, la disponibilité d'une dose unique de C14-finastéride n'a pas été différente de celle des volontaires sains. La liaison avec les protéines plasmatiques n'est pas différente chez les patients ayant une insuffisance rénale. Une partie des métabolites, qui est normalement excrétée par voie rénale, est excrétée dans les fèces. Par conséquent, l'excrétion fécale augmente proportionnellement à la diminution de l'excrétion urinaire des métabolites. Aucun ajustement de posologie n'est nécessaire chez les patients ayant une insuffisance rénale et qui ne sont pas dialysés. Le finastéride a également été retrouvé dans le liquide séminal de sujets ayant reçu une dose quotidienne de 5 mg de finastéride. La quantité de finastéride retrouvée dans le liquide séminal était inférieure à 5 µg, cette quantité n'ayant pas eu d'effet sur les taux de DHT circulante chez l'homme adulte. Dans l'insuffisance hépatique, on ne dispose d'aucune information à ce jour. |
Durée de conservation : 3 ans, en zones climatiques I et II. 2 ans, en zones climatiques III et IV. A conserver à une température ne dépassant pas + 30 °C, dans l'emballage extérieur d'origine, et à l'abri de la lumière. |
Pas d'exigences particulières. |
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Forme galénique / Dosage : Comprimé 5 mg
Excipients : cellulose microcristalline, docusate de sodium, lactose, stéarate de magnésium, amidon de maïs prégélatinisé, carboxyméthylamidon sodique, oxyde de fer jaune. Pelliculage : hyprolose, laque d'aluminium et d'indigotine, hypromellose, talc, dioxyde de titane.
Quantité par unité : Boîte de 28
Famille ATC : Médicaments urologiques
Classe ATC : MEDICAMENTS DANS L'HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA PROSTATE
Sous classe ATC : INHIBITEURS DE L'ALPHA-5-TESTOSTERONE REDUCTASE
Conditions de prescription : LISTE I
Prix public (FCFA) : 23050