Fréquemment : somnolence, nausées, vomissements qui souvent régressent spontanément ; constipation qui nécessite la prise d'un traitement laxatif régulier.Plus rarement : confusion des idées, excitation, cauchemars (notamment chez la personne âgée), difficulté respiratoire, difficulté à uriner, hypertension intracrânienne.Ce médicament contient de la morphine et expose à un risque de dépendance. Ce risque est très faible par voie orale, dans les conditions d'utilisation médicale.
.Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants : insuffisance respiratoire grave ; insuffisance hépatique grave ; épilpesie non stabilisée par un traitement ; en association avec les antalgiques contenant de la buprénorphine, de la nalbuphine ou de la pentazocine ; enfant de moins de 6 mois ; allaitement (en cas de traitement prolongé).
La morphine et les médicaments apparentés ne sont pas réservés aux douleurs des cancéreux ; ils sont aussi utilisés dans le traitement de courte durée des fortes douleurs pouvant faire suite à une fracture, une intervention chirurgicale, un infarctus du myocarde...La prescription de morphine et de substances apparentées (stupéfiants) est rédigée par le médecin sur une ordonnance sécurisée.La durée de validité de l'ordonnance est limitée à 28 jours.Respectez la posologie et la durée de traitement prescrites par votre médecin. Mais si le traitement paraît insuffisant, n'hésitez pas à reprendre contact avec lui.
Grossesse :L'utilisation de la morphine et de ses dérivés ne doit être envisagée chez la femme enceinte qu'en cas d'absolue nécessité, en effet : une insuffisance respiratoire peut survenir chez le nouveau-né d'une mère traitée par des doses élevées, même si le traitement est ponctuel mais précède de peu l'accouchement ; un syndrome de sevrage, à l'inverse, peut concerner des nouveau-nés si leur mère reçoit un traitement régulier, même à faible dose. L'enfant souffre alors d'irritabilité, de vomissements, voire de convulsions.Il est donc important de signaler à l'obstétricien la prise éventuelle de morphinique, afin que ces risques puissent être prévenus par une surveillance et un éventuel traitement adapté.Allaitement :La morphine passe dans le lait maternel : l'allaitement est contre-indiqué en cas de traitement prolongé. Une prise unique ne pose pas de problème
Fréquemment : somnolence, nausées, vomissements qui souvent régressent spontanément ; constipation qui nécessite la prise d'un traitement laxatif régulier.Plus rarement : confusion des idées, excitation, cauchemars (notamment chez la personne âgée), difficulté respiratoire, difficulté à uriner, hypertension intracrânienne.Ce médicament contient de la morphine et expose à un risque de dépendance. Ce risque est très faible par voie orale, dans les conditions d'utilisation médicale.
.Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants : insuffisance respiratoire grave ; insuffisance hépatique grave ; épilpesie non stabilisée par un traitement ; en association avec les antalgiques contenant de la buprénorphine, de la nalbuphine ou de la pentazocine ; enfant de moins de 6 mois ; allaitement (en cas de traitement prolongé).
La morphine et les médicaments apparentés ne sont pas réservés aux douleurs des cancéreux ; ils sont aussi utilisés dans le traitement de courte durée des fortes douleurs pouvant faire suite à une fracture, une intervention chirurgicale, un infarctus du myocarde...La prescription de morphine et de substances apparentées (stupéfiants) est rédigée par le médecin sur une ordonnance sécurisée.La durée de validité de l'ordonnance est limitée à 28 jours.Respectez la posologie et la durée de traitement prescrites par votre médecin. Mais si le traitement paraît insuffisant, n'hésitez pas à reprendre contact avec lui.
Grossesse :L'utilisation de la morphine et de ses dérivés ne doit être envisagée chez la femme enceinte qu'en cas d'absolue nécessité, en effet : une insuffisance respiratoire peut survenir chez le nouveau-né d'une mère traitée par des doses élevées, même si le traitement est ponctuel mais précède de peu l'accouchement ; un syndrome de sevrage, à l'inverse, peut concerner des nouveau-nés si leur mère reçoit un traitement régulier, même à faible dose. L'enfant souffre alors d'irritabilité, de vomissements, voire de convulsions.Il est donc important de signaler à l'obstétricien la prise éventuelle de morphinique, afin que ces risques puissent être prévenus par une surveillance et un éventuel traitement adapté.Allaitement :La morphine passe dans le lait maternel : l'allaitement est contre-indiqué en cas de traitement prolongé. Une prise unique ne pose pas de problème
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