Forme galénique / Dosage : Gélule 50 mg/20 mg Excipients : Amidon de maïs, Cellulose microcristalline, Érythrosine, Fer rouge oxyde, Gélatine, Hypromellose, Indigotine, Lactose, Macrogol 4000, Magnésium carbonate lourd, Magnésium stéarate, Polysorbate 80, Sodium laurylsulfate, Titane dioxyde Famille ATC : BETA-BLOQUANTS Classe ATC : BETA-BLOQUANTS ET AUTRES ANTIHYPERTENSEURS Sous classe ATC : BETA-BLOQUANTS SELECTIFS ET AUTRES ANTIHYPERTENSEURS Laboratoire : Astrazeneca Prix public (FCFA) : 11875 |
Hypertension artérielle. |
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Troubles digestifs, fatigue, sensation de mains et de pieds froids, ralentissement important du cœur, insomnie, sécheresse des yeux.Maux de tête, rougeur du visage, œdème des membres inférieurs.Plus rarement : bloc auriculoventriculaire, baisse excessive de la tension artérielle, phénomène de Raynaud, insuffisance cardiaque, bronchospasme, éruption cutanée, aggravation d'un psoriasis, gonflement des gencives.Exceptionnellement : jaunisse.Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en téléchargeant le formulaire. |
Ce médicament ne doit pas être utilisé dans les cas suivants : formes graves de certaines affections : bloc auriculoventriculaire, asthme, bronchite chronique obstructive, artérite, phénomène de Raynaud ; insuffisance cardiaque non contrôlée par un traitement spécifique ; rythme cardiaque inférieur à 50 battements par minute ; phéochromocytome non traité ; hypotension ; antécédent de choc anaphylactique ; infarctus du myocarde récent (1 mois) et angine de poitrine grave ; en association avec les médicaments contenant de la floctafénine ou du sultopride. |
N'interrompez jamais brutalement le traitement. Espacez progressivement les prises. Un avis médical est toujours préférable.Chez les diabétiques, les bêtabloquants peuvent masquer certains symptômes de l'hypoglycémie (palpitations et accélération du cœur essentiellement).Les bêtabloquants peuvent aggraver les réactions allergiques et empêcher l'action de l'adrénaline utilisée dans le traitement d'urgence du choc anaphylactique. Lors d'examens radiologiques nécessitant l'injection de produits de contraste iodés (susceptibles de provoquer des chocs allergiques), le traitement doit, si possible, être suspendu avec l'accord de votre médecin.En cas d'intervention chirurgicale, l'anesthésiste doit être prévenu de la prise de ce médicament. C'est lui qui décidera si le traitement doit être poursuivi ou arrêté avant l'intervention.Attention : sportifSportif : ce médicament contient une substance susceptible de rendre positifs certains tests antidopage. |
Ce médicament ne doit pas être associé aux médicaments contenant les substances suivantes : à la floctafénine (IDARAC) : risque d'augmentation de la gravité d'un éventuel choc anaphylatique ; au sultopride (uniquement disponible à l'hôpital) : risque de ralentissement cardiaque important.Ce médicament peut interagir avec les médicaments contenant de l'amiodarone ou de la ciclosporine.Informez par ailleurs votre médecin si vous prenez l'un des médicaments suivants : antidiabétique, alphabloquant, médicament contenant de la quinidine, de l'hydroquinidine, du disopyramide, de la propafénone, de la méfloquine, de la cimétidine, de la rifampicine, de la phénytoïne, de la lidocaïne injectable.En outre, l'effet antihypertenseur de ce médicament peut être augmenté par certains médicaments tels que les neuroleptiques, les antidépresseurs imipraminiques, les médicaments contenant du baclofène ; il peut être diminué par les AINS et corticoïdes. Votre médecin doit être informé si vous êtes traité par l'un ou par l'autre. |
Grossesse :La présence de nifédipine conditionne le fait que l'utilisation de l'association soit déconseillée pendant la grossesse.Liée à la nifédipine : Les études réalisées chez l'animal ont mis en évidence des effets tératogène et foetotoxique de la nifédipine. En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique n'est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées à la nifédipine est insuffisant à ce jour pour pouvoir exclure tout risque. En conséquence, l'utilisation de la nifédipine est déconseillée pendant la grossesse. Toutefois, la découverte d'une grossesse sous nifédipine n'en justifie pas l'interruption.Liée à l'aténolol : Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, aucun effet tératogène n'a été rapporté à ce jour et les résultats d'études prospectives contrôlées avec quelques bêta-bloquants n'ont pas fait état de malformations à la naissance. Chez le nouveau-né de mère traitée, l'action bêta-bloquante persiste plusieurs jours après la naissance : si cette rémanence est le plus souvent sans conséquence clinique, il peut néanmoins survenir, par réduction des réactions cardiovasculaires de compensation, une défaillance cardiaque nécessitant une hospitalisation en soins intensifs (cf Surdosage), tout en évitant les solutés de remplissage (risque d'OAP). En conséquence, l'aténolol, dans les conditions normales d'utilisation, peut être prescrit pendant la grossesse si besoin. En cas de traitement jusqu'à l'accouchement, une surveillance attentive du nouveau-né (fréquence cardiaque et glycémie pendant les 3 à 5 premiers jours de vie) est recommandée.Allaitement :Lié à l'aténolol : Les bêta-bloquants sont excrétés dans le lait (cf Pharmacocinétique). Le risque de survenue d'hypoglycémie et de bradycardie n'a pas été évalué. En conséquence, par mesure de précaution, il convient d'éviter de l'administrer chez la femme qui allaite.Lié à la nifédipine : La nifédipine passe dans le lait maternel. En conséquence, par mesure de précaution, il convient d'éviter de l'administrer chez la femme qui allaite. |
En cas de bradycardie ou de baisse tensionnelle excessive, on aura recours à l'administration par voie veineuse : d'atropine, 1 à 2 mg en bolus, de glucagon à la dose de 10 mg en bolus lent, suivi si nécessaire d'une perfusion de 1 à 10 mg par heure, puis, si nécessaire, soit d'isoprénaline en injection lente à la dose de 15 à 85 µg (l'injection sera éventuellement renouvelée, la quantité totale à administrer ne devant pas dépasser 300 µg), soit de dobutamine de 2,5 à 10 µg/kg/min.En cas de décompensation cardiaque chez le nouveau-né de mère traitée par bêta-bloquants : glucagon sur la base de 0,3 mg/kg, hospitalisation en soins intensifs, isoprénaline et dobutamine : les posologies en général élevées et le traitement prolongé nécessitent une surveillance spécialisée. |
Bêta-bloquants sélectifs et autres antihypertenseurs (code ATC : C07FB03).L'aténolol se caractérise par 3 propriétés pharmacologiques : activité bêta-bloquante bêta-1 cardiosélective, effet antiarythmique, absence de pouvoir agoniste partiel (ou d'activité sympathomimétique intrinsèque).La nifédipine inhibe à de très faibles concentrations la pénétration et la diffusion des ions calcium dans les cellules du muscle lisse.Le calcium joue un rôle sur l'activation du couplage excitation-contraction. En inhibant le tonus artériel par ce mécanisme, la nifédipine entraîne une vasodilatation en abaissant les résistances artériolaires et le niveau de pression artérielle.Cette vasodilatation s'accompagne : d'une augmentation du diamètre artériel, d'une préservation, voire d'une augmentation, des flux sanguins périphériques et des débits locorégionaux (rénal, cérébral), d'une augmentation de la compliance artérielle (distensibilité).En administration chronique : il n'a pas été observé de variation nette du système rénine-angiotensine-aldostérone, ni de prise de poids sous traitement prolongé ; ces éléments sont en faveur d'une absence de rétention hydrosodée, l'accélération de la fréquence cardiaque n'est pas observée.En administration aiguë, la réduction de pression artérielle est liée au niveau du taux plasmatique de nifédipine. |
Liée à l'aténolol : Biodisponibilité d'environ 50 % avec une très faible variabilité interindividuelle. La demi-vie d'élimination est de 9 heures mais l'activité antihypertensive couvre le nycthémère. Le volume de distribution est d'environ 75 l/1,73 m2 et la clairance rénale est de 100 ml/min/1,73 m2. La molécule est hydrophile et pénètre peu dans le LCR. L'aténolol est lié aux protéines de façon négligeable (< 10 %). La fraction absorbée est excrétée pratiquement inchangée par le rein, ce qui nécessite un ajustement posologique chez l'insuffisant rénal (cf Posologie et Mode d'administration, Mises en garde et Précautions d'emploi). L'aténolol traverse le placenta et se retrouve dans le sang du cordon (concentrations supérieures de 50 % à celles du sang maternel). L'aténolol passe dans le lait où on le retrouve à une concentration trois à cinq fois supérieure à la concentration maternelle. Liée à la nifédipine : Dans sa forme LP, la nifédipine se trouve sous forme microcristalline à vitesse de dissolution lente. Sa résorption est donc plus lente que celle de la forme à libération immédiate. Après administration orale, la nifédipine est presque entièrement absorbée (95 %). La concentration plasmatique est maximale 2 à 4 heures après l'administration. Un écrêtement du pic de la concentration et un ralentissement de l'élimination par rapport à une forme à libération immédiate sont la conséquence de la réduction de vitesse de résorption. La demi-vie apparente d'élimination de la forme LP varie de 6 à 11 heures. La biodisponibilité absolue de la nifédipine administrée par voie orale est d'environ 50 % en raison d'un effet de premier passage hépatique. La prise simultanée de nourriture conduit à ralentir, mais non à diminuer, l'absorption. La fixation protéique est de 90 à 95 %. Chez l'homme, la nifédipine est presque entièrement métabolisée au niveau du foie en plusieurs métabolites inactifs. 80 à 90 % de la substance sont éliminés par le rein, plus de 90 % de cette quantité se retrouvent dans les urines des 24 heures ; 15 % environ sont éliminés par les fèces. Il n'y a donc pas d'accumulation de la molécule dans l'organisme après prise répétée de la forme LP. La nifédipine n'est pas dialysable. |
Il est normal que le rythme cardiaque ralentisse sous l'effet du traitement ; néanmoins, en cas de fatigue anormale et de pouls inférieur à 50 battements par minute, consultez votre médecin.Votre tension artérielle doit être contrôlée régulièrement. Les appareils permettant une mesure automatique de la tension à domicile utilisent souvent un procédé de mesure différent de celui qu'emploie votre médecin. Si vous avez un tel appareil, apportez-le en consultation pour vous assurer que la mesure obtenue est bien conforme à celle du tensiomètre de votre médecin.Le traitement médicamenteux ne dispense pas de mesures pouvant faire baisser la tension artérielle : activité physique régulière, modération de la consommation de boissons alcoolisées et de sel, lutte contre l'excès de poids, arrêt du tabac.En cas de constipation, susceptible d'être aggravée par ce médicament, le médecin pourra éventuellement prescrire un laxatif lubrifiant.Conservez les gélules à l'abri de la lumière. |
Durée de conservation : 4 ans.A conserver à une température inférieure à 25 °C, à l'abri de la lumière et de l'humidité. |
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Forme galénique / Dosage : Gélule 50 mg/20 mg
Excipients : Amidon de maïs, Cellulose microcristalline, Érythrosine, Fer rouge oxyde, Gélatine, Hypromellose, Indigotine, Lactose, Macrogol 4000, Magnésium carbonate lourd, Magnésium stéarate, Polysorbate 80, Sodium laurylsulfate, Titane dioxyde
Quantité par unité : Boîte de 30
Famille ATC : BETA-BLOQUANTS
Classe ATC : BETA-BLOQUANTS ET AUTRES ANTIHYPERTENSEURS
Sous classe ATC : BETA-BLOQUANTS SELECTIFS ET AUTRES ANTIHYPERTENSEURS
Laboratoire : Astrazeneca
Prix public (FCFA) : 11875